Après un premier coup de canon contre Valls, Alauna récidive. La cible est le fanatique Peillon, ministre de l’Education Nationale et zélé défenseur de la République laïque.
Extrait du livre de Vincent Peillon, « La Révolution n’est pas terminée » publié au Seuil en 2008:
C’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle Eglise, avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi. (p.17)
Vincent Peillon
Oui, c’est à vous monsieur que ce discours s’adresse.
Quoi ? Voudriez-vous donc qu’on dise « votre altesse » ?
« Très saint père et pontife de la république » ?
Vous qui avez soumis le saint état laïque
A prendre pour modèle dans ses hiérarchies
L’Eglise catholique. Délicieuse ironie !
Votre saint ministère serait le saint concile,
« Mes enfants, le chrétien a fait souffrir la France,
Par son obscurantisme et par sa décadence,
Les hommes les plus saints et les plus altruistes
Furent, c’est bien connu, des athées cégétistes ».
Apprenez mon ami, mon très cher myrmidon,
Que l’état-religion fait de vous un bouffon :
Trop envieux des honneurs qu’au clergé on adresse,
Vous vous faites ministre de votre déesse
REPUBLIQUE ! Et prenez comme pieux acolytes
Judaïsme, shoah et saints israélites…
Votre pensée unique est seule religion ?
Je serais donc athée, mon cher monsieur Peillon !
Mais qu’attendre de plus qu’un dictat lobbyiste :
Petit fils de rabbin et fils de communiste !
Votre oncle nous légua l’invention mortifère,
Tueur de nouveaux nés et destructeur de mère…
Il ne l’a toutefois découvert que trop tard
Et vous permet ainsi d’être un chien du Tartare…
Alauna pour Contre-Info