La Mairie gauchiste de Paris annonçait il y a quelques temps :
« Le mercredi 17 novembre 2021, le Conseil de Paris a voté à l’unanimité l’attribution de la « Place des Combattantes et Combattants du sida » à la partie du terre-plein séparant la rue de Rivoli de la rue Saint-Antoine, entre la rue de Fourcy et la rue du Prévôt, au niveau de la station de métro Saint-Paul. Située dans le quartier du Marais (4e), cette nouvelle place se trouve symboliquement dans l’un des quartiers historiques de la communauté LGBT+. »
Les observateurs de l’asile n’ont pas été déçus…
Les combattants ? A chaque époque ses guerres…
Evidemment, souffrir du sida n’est pas drôle, ce fut même tragique à une époque.
Mais pourquoi pas des plaques pour les combattants du cancer X, du cancer Y, de la mucoviscidose, etc. ?
Pourquoi ?
Parce que le sida est une maladie qui touche les sodomites.
Or, la défense puis la promotion des mœurs inverties – qui ont été considérées comme horribles presque toujours et partout dans l’histoire de l’humanité – est une passion pour le gauchisme.