Les études de l’écrivain Henry Makow, de Fritz Springmeier, le livre Dossier pédophilie de Jean Nicolas et Frédéric Lavachery, de Jacques Ploncard d’Assac [Le secret des FM, p.131 : découverte du cadavre mutilé d’une fillette en 1941 dans la loge de Bézier], démontrent clairement que la Franc-maçonnerie est au cœur de la pédocriminalité ou du pédosatanisme. Aleister Crowley, 33e degré de la Franc-maçonnerie, sacrifiait 150 enfants par an. Albert Pike, dans Morals and Dogma ou encore Adam Weishaupt dans Le Testament de Satan affirment que le secret de la Franc-maçonnerie est la dévotion en Satan. Et ce ne sont que de maigres exemples. La religion la plus secrète et la plus élitiste est le satanisme, et par la Franc-maçonnerie et ses rites luciférien elle met à sa botte des politiciens corrompus, prêts à toutes les abjections et manipulation contre leur peuple. Dans Dossier pédophile, il est clairement mentionné que des pédocriminels éventrent des enfants avant de les violer. Quelle compassion voulez-vous que ces criminels aient pour vous ? C’est pourquoi le droit de vote est le plus grand des mensonges. La seule chose que l’homme ait à faire est de n’avoir aucun commerce avec cette boîte à M.. où l’on glisse un soi-disant bulletin de vote.
Notre seul devoir s’inscrit dans l’éternité : nous devons uniquement des comptes à notre Créateur. Car, tout se passe dans une dimension surnaturelle. Enfin, quelque soit le courage et la générosité incontestables qu’un Dieudonné montre, l’admiration qu’il peut susciter, son combat est voué à l’échec. Contre Satan, on lutte avec des Grâces et seulement avec des Grâces, et non pas avec des dés pipés.
Ce dossier est réalisé à partir du journal italien Effedieffe, de la presse anglaise et roumaine.
À Londres, les pédophiles de Westminster ont écrit une longue page décrivant les crimes les plus abjects de notre monde. Le furoncle de leur réseau occulte éclate pour la nième fois. En 2012, Scotland Yard avait lancé l’opération Fairbanks pour identifier, au cœur du gouvernement et des parlementaires britanniques, un cercle de pédophiles, responsables d’abus répugnants. En novembre 2014, l’opération Midland est déclenchée. Ce changement de nom s’explique par le fait que les détectives ont reçu des informations sur des parlementaires et des ministres coupables de viols et d’homicides sur deux enfants.
Le député Tom Watson, qui a fait éclater ce scandale, a utilisé son propre réseau d’informateurs pour mettre la main sur un précieux dossier et livrer vingt-deux noms à la police. Déjà, en septembre 1992, il a prouvé et fait condamner un expert pour la protection des enfants, Peter Righton, qui importait des revues et photographies liées à la pédophilie. Pour Tom Watson, comme pour les autres, les preuves attestent clairement l’existence d’un gang de crapules pédophiles au sein du Parlement britannique, ainsi qu’au « 10 » (expression désignant la sphère du Premier ministre, qui réside traditionnellement au 10 Downing Street). Scotland Yard a ainsi enquêté sur la piste d’une maison d’hôtes, dans le Sud-est de la capitale. Un « survivant », couvert par l’anonymat, a déclaré à la BBC avoir été violé à de nombreuses reprises de 1975 à 1984. Cet homme, qui a maintenant une quarantaine d’années, parle d’un cercle de 15 à 20 enfants autistes apportés dans des appartements et dans un hôtel où se déroulaient des viols. « Nul ne se préoccupait de dissimuler son identité, témoigne ce survivant à l’égard de ses bourreaux. Ils n’avaient pas peur d’être capturés ». Il explique qu’il « fut tétanisé pendant neuf années par la peur et le traumatisme enduré ». En février 2013, des mois après la dénonciation effectuée par l’honorable Watson, la police a perquisitionné la maison et les bureaux de Westminster de Lord Janner qui, bien qu’impliqué, n’a jamais été inquiété.
G. Dickens, un député qui dénonce la pédophilie dans les plus hautes instances de l’État.
Rien de nouveau sous le soleil d’Albion. La couverture des ogres de cette île a une longue histoire. En novembre 1983, le parlementaire conservateur Geoffroy Dickens a compilé un dossier de quarante pages à l’attention de Leon Brittan (baron Brittan de Spennithorne), alors secrétaire d’État à l’Intérieur. Mais rien n’avance pour autant. Cette même année, Dickens affirmait que le réseau pédophile comprenait de « très très grands noms, des personnes appartenant au pouvoir, jouissant de beaucoup d’influence et de responsabilité » et il craignait de divulguer ces noms à la Chambre des communes[1].
Leon Brittan, d’origine juive lituanienne, qui a occupé aussi les fonctions de vice-président de la banque d’investissement UBS et de membre du comité exécutif de la Commission Trilatérale, ne fait pas tomber les têtes. Pire : Brittan a fait une splendide carrière à la commission européenne, à Bruxelles (commissaire au commerce, aux relations étrangères, à la concurrence) jusqu’à ce qu’il devienne vice-président de la Commission européenne en 1999. En juillet 2014, le « dossier Dickens » a disparu. Et personne n’est capable de donner le moindre renseignement sur ce qu’il est devenu. Il a été constaté qu’aux bureaux de l’Home office (bureau de l’Intérieur), il manquait 114 dossiers liés à la pédophilie, dont celui monté par le député Dickens plus de dix ans auparavant. Peu après, l’actuel secrétaire d’État à l’Intérieur depuis mai 2010, Therese May, conservatrice, favorable au mariage homosexuel, a ordonné une enquête, admettant que le Home office aurait pu les avoir cachés pour couvrir des pédophiles. Le Premier ministre David Cameron s’est empressé de contredire sa ministre, prétendant que ce scénario était impossible[2]. L’enquête a été dirigée par la juge Elizabeth Buttler-Sloss, laquelle a été « contrainte de renoncer ». Cette magistrate est connue pour avoir présidé l’enquête sur l’assassinat de Lady Di.
Pourtant, les éléments de ce réseau de pédophiles fourni par Geoffroy Dickens et appartenant à l’establishment britannique y sont détaillés. Le député Cyril Smith (1918-2010) est mentionné. En 1979, cet hyper-obèse, un honorable libéral, avait déjà été accusé par un magazine local de harcèlement et de sévices sur de jeunes adolescents d’un hôpital ouvert par lui-même à Rochdale, son fief électoral. La figure de Cyril Smith, grasse et laide jusqu’à la caricature, passait souvent à la télévision. Il était invité à maintes reprises, à heure de grande écoute, par le célèbre présentateur de la BBC Jimmy Savile (1929-2011). Pour Savile, comme pour Smith, les charges de pédophilie sont tombées seulement après leur mort.
Le valeureux Geoffrey Dickens est mort en 1995, sans que personne n’ait été arrêté.
Cependant, le flambeau de la lutte contre la pédophilie ne s’est pas éteint. En décembre 2014, John Mann, député de Bassetlaw, a affirmé qu’il était « inconcevable » que la police ne procède pas aux arrestations et aux auditions de certains des politiciens qu’il a nommés dans une liste remise aux inspecteurs. John Mann, qui a passé des mois à examiner les témoignages, s’est rendu à Scotland Yard et leur a livré des preuves sur vingt-deux politiciens, dont trois députés en exercice et trois membres de la Chambre des Lords. Bien que certains politiciens figurant sur la liste soient morts, la liste contient également les noms d’autres personnalités en vie, mais qui ne gravitent plus activement dans les cercles de Westminster. « Il y a au moins cinq réseaux pédophiles qui impliquaient des députés, a-t-il révélé. Chacun d’entre eux impliquait au moins un député et d’autres davantage, et c’étaient là des groupes de gens qui connaissaient les activités des uns et des autres. Dans certains cas, je pense qu’ils commettaient ces abus en réunion. »[3]
Vishal Mehrotra, l’enfant mutilé et une enquête qui n’avance pas.
L’affaire Vishal Mehrotra est symptomatique de l’horreur de la pédophilie et de l’impossibilité de retrouver les coupables. Cet enfant de huit ans s’était rendu, le 29 juillet 1981, avec ses parents, dans les avenues de la capitale britannique, pour voir passer le carrosse des noces de Charles et Diana. L’enfant, excité, avait couru jusqu’à ce que sa famille le perde de vue. La dernière fois qu’ils l’ont vu était à un endroit non loin d’Elm Guest House, le bordel de South East London. Le petit Vishal a été retrouvé en février 1982, son cadavre était nu, le pubis coupé et amputé des deux jambes. Son dos était en partie sectionné. Le médecin légiste a admis la possibilité que des foul plays (jeux obscènes) aient été effectués sur son corps. Des mois après, le père, Vishambhar Mehrotra, a été contacté par un homme ayant une voix jeune, qui disait être un prostitué et prétendait que Vishal avait été enlevé et assassiné par des pédophiles des « hautes sphères sociales » qui opèrent à partir d’Elm Guest House. Il a parlé de juges et de politiciens qui violent de petits enfants et des bébés, a raconté Vishambhar Mehrotra, qui avait enregistré l’appel puis l’avait apporté à la police.
Mehrotra, citoyen britannique d’origine sud-asiatique, était un juge de Wimbledon. Il a témoigné : « Que se passa-t-il ? Rien, évidemment. J’avais enregistré la conversation entière, qui dure quinze minutes, et l’avais apportée à la police. Mais au lieu d’enquêter, la police n’a plus parlé de la cassette. Rien n’a avancé. Depuis, je me méfie de la police. » Vishambhar Mehrotra a même parlé d’un « refus d’enquêter » de la part de la police et a désigné « un cercle de pédophiles lié au gouvernement et couvert par Scotland Yard »[4].
L’ami de Charles, J. Savile : un pédophile et un nécrophile décoré par Jean-Paul II.
Le cas de Jimmy Savile symbolise la pédophilie au cœur de l’État britannique. Le représentant charismatique de la pop britannique était pourtant vénéré de son vivant pour son implication dans l’humanitaire. Ce satrape historique de la BBC a violé des enfants en toute impunité pendant presqu’un demi siècle. Déjà, en 1964, la BBC enterrait les premières traces du comportement criminel du présentateur. La chaîne n’a jamais diffusé un entretien de Johnny Rotten, le chanteur des Sex Pistols qui, en 1978, dévoilait ce grand « non-dit » au sein de l’audiovisuel britannique : « Je voudrais buter Jimmy Savile. Je pense que c’est un hypocrite et je parie qu’il est réellement impliqué dans tous ces crimes qu’on lui prête et qu’on connaît tous, mais dont personne ne veut parler. Je parie que rien de ce que ce type a fait ne sortira jamais. »[5]
Cet horrible individu, pendant des décennies, a animé un gang de pédophiles violeurs pakistanais opérant à Rotterham, South Yorkshire. En janvier 2013, le nombre des plaignants recensé était de l’ordre de 450, dont une bonne partie avait moins de dix ans à l’époque des faits. Il y a quelques jours, la police britannique a révélé que l’enquête avait prouvé que Savile s’envoyait fréquemment en l’air avec des cadavres dans les locaux de la morgue de l’hôpital de Leeds, mais aussi avec les patients et patientes d’un hôpital psychiatrique[6]. Parmi ses nombreuses actions de bénévolat, l’homme s’était fait engager comme brancardier bénévole, ce qui lui donnait accès à de nombreux locaux de manière privilégiée.
Le pouvoir de Jimmy Savile était immense. Lunettes colorées, cheveux longs et un cigare constamment à la bouche, au volant d’une Rolls Royce, il était l’animateur d’une multitude d’œuvres caritatives et de belles soirées londoniennes.
De nombreux lauréats ad honorem, béret vert ad honorem, radiologue ad honorem, la reine en a fait un Sir, et Thatcher un Chevalier ; et il a obtenu de Jean-Paul II le titre de chevalier de l’ordre équestre de Saint Grégoire le Grand. Il a été fait de manière informelle conseiller pour le mariage du prince Charles, un ami très proche, avec Diana. Son appartenance et son implantation dans le milieu de l’establishment était total, tout comme son sens de l’impunité. Il a agressé sexuellement des centaines de personnes âgées de 5 à 75 ans, jusqu’à son dernier soupir.
Pendant des décennies, ce monstre intime de la Couronne a aussi animé un gang de pédophiles pakistanais opérant à Rotherham. Ce groupe de musulmans auraient violé, de 1997 à 2013, plus de mille enfants âgés de 11 à 16 ans, présentant des handicaps mentaux. Le député travailliste Denis Mac Shane a déclaré ne pas avoir voulu l’empêcher, bien qu’il ait été informé des abus, parce qu’il avait peur de mettre à mal l’identité multiculturelle de la Grande-Bretagne. La police, la famille, les assistants sociaux et les politiciens se seraient tous tus par peur de sembler politiquement incorrects. Telle a été l’explication peu crédible donnée par des journalistes à l’égard de l’infini silence qui entourait ce cas. En fait, il y a fort à parier que ce groupe avait des liens avec l’establishment britannique, qui ne voulait pas se trouver trempé dans d’obscures histoires de partouzes et de crimes d’enfants.
Ian Watkins viole les enfants de ses fans avec leur contribution.
Jimmy Savile n’est bien entendu pas le seul, dans le monde de la musique, à avoir été accusé de pédophilie. Ian Watkins, fondateur et ancien chanteur du groupe de rock alternatif gallois Lostprophets, est condamné en 2013 à 35 ans de prison pour pédophilie. En pratique, le chanteur a profité de sa renommée pour construire un système de perversion organisé. Il obligeait ses groupies à avoir des relations particulièrement immondes avec leurs enfants. « Si tu m’appartiens, ton fils m’appartient aussi », écrivait-il à une fille. À une autre, il demande un SMS dans lequel il lève un verre à un « splendide été incestueux ». Non satisfait de son pouvoir sur ses fans, Watkins a poussé le vice encore plus loin, pour enfreindre chaque tabou, jusqu’à impliquer des mères dans le viol de leurs enfants. Il est étonnant que, pendant des années, Watkins ait agi sans être dérangé. Le groupe s’est séparé seulement au moment de la découverte du scandale.
En 2012, sous le titre The paedophiles aged ten: 136 children under 15 convicted of sex offences on other youngsters in 2011 (Des pédophiles de 10 ans : en 2011, 136 enfants de moins de 15 ans ont été condamnés pour abus sexuels sur d’autres enfants), le Daily Mailarendu publics les résultats d’une recherche du National Society for the Prevention of Cruelty to Children (NSPCC). Cette association fondée en 1884, qui lutte contre la pédophilie au Royaume-Uni, a publié que toujours plus d’adolescents de 10 à 18 ans détenaient du matériel pédopornographique et violaient leurs amis du même âge ou des enfants encore plus jeunes. En 2011, 357 adolescents pédophiles ont été condamnés, dont 136 avaient entre 10 et 15 ans. Ces enfants pédophiles s’étaient déjà rendus coupables de nombreux cas d’homicides, de suicides de groupes et de bagarres avec des couteaux[7].
Vers la banalisation de la pédophilie
En juillet 2014, lors d’une conférence, des représentants de l’université de Cambridge ont soutenu que la « pédophilie est un comportement normal pour les hommes adultes qui veulent avoir des relations avec des enfants » et « les hommes normaux sont excités par des enfants ». Or, ce lieu académique est connu pour abriter des sujets liés au PIE (Pedophile information Exchange), un réseau non occulte de pédophiles, un groupuscule qui veut ouvertement « réglementer l’intimité intergénérationnelle », comme dans le cas du parti pédophile apparu en Hollande. Une dérive que le président de la Fédération de Russie dénonce dans le discours de la réunion du club de Valdaï, le 20 septembre 2013. Il déclare que les pays euro-atlantiques « rendent égales les familles nombreuses et les unions de même sexe, la croyance en Dieu et la croyance en Satan. (…) Les excès du politiquement correct sont tels que des gens parlent sérieusement de proposer des partis politiques qui ont pour objectif de promouvoir la pédophilie ». Nous comprenons qu’avec de telles déclarations, un tel président soit haï par ses homologues occidentaux, dont on peine à savoir de quelles vertus ils sont porteurs. Poutine n’est pas de ces présidents qui égorgent des enfants lors de crimes rituels et sataniques secrets. La mise à l’index dont il est victime est particulièrement éloquente pour qui veut se donner la peine de décrypter et de comprendre les fondements sataniques de la démocratie. D’ailleurs, l’American Psychiatry Association (APA) ne considère plus la pédophilie comme étant une maladie psychiatrique. Ces faits prouvent la normalisation du mal absolu et l’inversement des valeurs. Le retrait de l’homosexualité de la liste des maladies établies par l’OMS est également récent.
Nichi Vendola, qui était député communiste italien avant la dissolution du parti communiste, actuellement troisième homme du centre-gauche et homosexuel déclaré qui gouverne la région italienne des Pouilles depuis sa réélection en 2010, s’est clairement positionné pour le « droit des enfants à avoir leur sexualité, des relations entre eux ou avec des adultes. »[8]
Autre représentant de l’intelligentsia gay, le romancier lombard Aldo Busi, a confirmé à plusieurs reprises sa position selon laquelle l’enfant peut séduire l’adulte : « Un enfant de 5, 10 ou 12 ans peut masturber une personne plus âgée ou subir une sodomie. Cette relation peut se produire entre adultes ou entre adolescents, enfants et adultes. »[9] ou encore : « Il peut exister une pédophilie légère pratiquée par des enfants sur les adultes. Les enfants sont dans certains cas les corrupteurs des adultes. Aujourd’hui, ils cherchent le bouc émissaire à travers la soi-disant pédophilie. Comme chez les tsiganes, les homosexuels, les hébreux, les Palestiniens, les femmes, les enfants ont aussi leur propre sexualité honorable que les adultes ne doivent pas réprimander[10]. » Nous constatons que ce pervers prétend que les enfants que l’on a au préalable éduqué à des mœurs débauchées séduisent volontairement des adultes. Aldo Busi est l’auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels il écrit en 1991 une traduction en italien d’Oscar Wilde, Il ritratto di Dorian Gray (Le portrait de Dorian Gray), bien entendu. En 1988, il a publié Sodomie in corpo 11 (Sodomie en corps 11), où il fait état de ses voyages en Tunisie et au Maroc. À la page 364, il parle d’une de ses expériences sodomites au clair de lune.
Le cercle de Hollywood
Il y a des milieux dans lesquels la pédophilie ne constitue pas un tabou. À Hollywood, par exemple, cette tare de la sexualité ne scandalise plus personne. Un garçon du Nebraska, Michael Egan, a accusé le metteur en scène de X-Men, Bryan Singer, de l’avoir drogué et violé à plusieurs reprises quand il était un jeune enfant. Michael Egan avait fréquenté ce haut lieu du cinéma à l’âge de 14 ans avec, comme compétences professionnelles, quelques expériences de photos pour des publicités locales, dans le but de devenir acteur. Il y avait rencontré le cercle pédophile ou, comme l’écrivait le Los Angeles Times : « La Hollywood predatory homosexuel community ». L’enfant est invité aux soirées gays rassemblant des riches et des puissants. Ils lui ont donné de la cocaïne. Ensuite, ils l’ont violé sans limite dans des orgies pédophiles. Ils lui ont promis des rôles dans des films pour gagner un peu d’argent, afin qu’il ne devienne pas trop vite indépendant. Avant tout chose, il était nécessaire de le pervertir et de jouir de ce nouvel objet sexuel.
Bryan Singer est maintenant un ténor de la Mecque du cinéma. Son « talent » ne fait plus aucun doute. Singer, à Hollywood, a été un des plus rapides à faire son coming out. Dans un récent numéro de la revue Culture Wars, dirigée par le célèbre E. Michael Jones, écrivain catholique considérant le judaïsme comme une foi dépravée, Michael Timmers a affirmé que la saga des X-Men avait été conçue comme chapitre de la propagande homosexuelle (en plus de la propagande juive). Ce film, que Singer conçoit sous forme de bandes dessinées, a généré un chiffre d’affaires de plus de deux milliards de dollars. Pourtant, à en lire quelques artistes, tous connaissent son style de vie. Il s’agit d’un secret de polichinelle qui n’offusque aucune conscience. Le journaliste de Chicago Jordan Sargent a écrit que personne n’ignorait la vie de Bryan Singer qui apprécie « les garçons minces et blancs, leur donnant de la cocaïne pure pour des parties sexuelles frénétiques ».
Bryan Singer n’est malheureusement pas un cas isolé. Lou Pearlman était, dans les années 1990, l’imprésario de boys bands comme NSYNC, d’où est sorti son protégé, Justin Timberlake. Mais Big pappa, comme se faisait appeler Pearlman par ses garçons, a été condamné en 2008 à 25 ans de prison. Le FBI a découvert que ce malfrat avait monté, depuis plusieurs années, un système de Ponzi incitant des banques et des particuliers à investir des fonds dans des entreprises fictives. La fraude s’est élevée à plus de 300 millions de dollars. Pearlman, figure grasse et disgracieuse, se présentait nu dans le lit des garçons et il leur montrait des films pornographiques à volonté.
Ces exemples montrent qu’en politique comme au cinéma, la pédophilie semble être devenue un ascenseur professionnel. Mais qui s’en offusque ? Certainement pas les moutons de « Je suis Charlie ». Philippe Val a fait des spectacles avec l’humoriste et auteur-compositeur Patrick Font, condamné pour pédophilie, en 1998, à six ans de prison, et qui fut libéré au bout de quatre ans. Patrick Font est poursuivi pour avoir caressé des enfants, longtemps, souvent, partout. La nuit, le jour, sur la paille des granges, sur les sièges des autocars, chez lui, chez eux, en tête à tête ou devant d’autres personnes. « 12 victimes entre 1993 et 1996 se sont déclarées, mais combien y en a-t-il d’autres ? Patrick Font est un pédophile », a accusé le procureur de la République. Pour sa défense, Philippe Val déclarera qu’il ne savait rien de la tare de son ami de spectacle !
Laurent Glauzy
Laurent Glauzy est l’auteur de :
Les géants et l’Atlantide
Témoins de Jéhovah, les missionnaires de Satan
Illuminati. « De l’industrie du Rock à Walt Disney : les arcanes du satanisme ».
Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale
Atlas de géopolitique révisée, tome II
Atlas de géopolitique révisée, tome I
Chine, l’empire de la barbarie
Extra-terrestres, les messagers du New-Age
[1] BBC News du 2/7/2014.
[2] The Telegraph du 11/11/2014, art. Theresa May: Home Office could have covered up paedophile claims (Theresa May : le bureau de l’Intérieur aurait pu avoir caché des suspicions de pédophilie).
[3] The Telegraph du 21/12/2014, art. Five Westminster paedophile rings probed by Scotland Yard (Scotland Yard enquête dans cinq cercles pédophiles de Westminster).
[4] The Telegraph du 21/12/2014, art. Father claims Scotland Yard covered up son’s murder by Westminster paedophiles (Un père accuse Scotland Yard d’avoir caché le meurtre de son fils par des pédophiles de Westminster).
[5] Entretien avec John Lydon (BBC Radio 1 du 28/10/1978).
[6] Mirror du 27/6/2014, art. Jimmy Savile had sex with dead bodies in mortuary (J. Savile avait des relations sexuelles avec des cadavres de la morgue. [De nombreux autres journaux comme The Huffington Post, The Guardian, etc. ont révélé ces faits. L’ami du prince Charles se fait photographier avec des lunettes de défunts.]
[7] Étude reprise par le journal roumain Gandul du 4/9/2012, art. Marea Britanie: În fiecare zi, un minor este condamnat pentru violarea sau hărţuirea sexuală a altui minor (Grande-Bretagne : tous les jours, un mineur est condamné pour viol ou harcèlement sexuel sur un autre mineur.)
[8] Il Giornale du 7/11/2010, art. Vendola difese i pedofili. Oggi ci querela (Vendola défend les pédophiles. Aujourd’hui en procès).
[9] Effedieffe du 22/11/2014, art. Gli orchi di Albione. E d’Italia (Les ogres d’Albion. Et d’Italie).
[10] La Repubblica du 12/12/1996.