Huit membres du groupuscule féministe Femen qui étaient poursuivis (pour une fois !) pour avoir dégradé une cloche de Notre-Dame de Paris ont été relaxés ce mercredi par la cour d’appel de Paris, qui confirme donc le jugement de première instance du tribunal correctionnel.
Trois surveillants de la cathédrale, qui avaient simplement fait leur travail, ont quant à eux été condamnés à des amendes de 300 euros, 500 euros et 1.000 euros avec sursis pour des « violences » commises sur trois des harpies lors de leur expulsion de l’édifice !
« Le 12 février 2013, les Femen avaient fêté à leur manière le renoncement du Pape Benoît XVI. Incognito dans le flot des touristes, elles étaient entrées dans l’édifice avant de tomber le manteau pour se jucher sur le socle de trois cloches, exposées provisoirement dans la nef à l’occasion du jubilé des 850 ans de Notre-Dame de Paris.
Exhibant leurs seins comme à chacune de leur actions, les Femen avaient crié « Pope no more » (« Plus de pape« ), en faisant tinter les cloches avec des morceaux de bois. La police avait constaté sur procès-verbal des éclats de plus d’un centimètre sur le dessus de la cloche Marcel (baptisée du nom de Saint-Marcel), recouvert de feuilles d’or. »
Le tribunal a estimé qu’il n’y avait pas suffisamment d’éléments pour imputer les dégradations sur la cloche aux Femen…
Et l’attentat à la pudeur ? L’« incitation à la haine » ? …
Si quelqu’un avait fait à une mosquée ou une synagogue le quart de ce que ces garces sataniques ont fait dans la cathédrale, il aurait eu les pires ennuis policiers et judiciaires…