Ben quoi ? C’est ça « la France d’après », la « France de la diversité », il faut savoir ce que l’on veut !
Lu chez actu17 :
« Cette sauvage agression a eu lieu au garage Feu Vert du Polygone Nord de Perpignan (Pyrénées-Orientales), le 30 novembre dernier vers 9 heures. Un sexagénaire gonflait tranquillement les pneus de son véhicule lorsqu’un trentenaire pressé est arrivé.
Ce dernier est passé de force devant une dame qui attendait son tour. Le sexagénaire a refusé qu’il grille la priorité et lui a fait savoir. Pour toute réponse, l’homme lui a porté un violent coup de pied au visage.
Inconscient et ensanglanté
Passé à tabac, il a subi de multiples factures et se retrouve avec de lourdes séquelles, relate L’Indépendant. La femme qui attendait son tour a retrouvé le pauvre homme inconscient, gisant au sol.
Malheureusement, ni elle ni aucune autre personne n’a vu directement l’agression. Paniquée, la femme âgée d’une soixantaine d’années s’est mise à tambouriner sur les vitres de l’établissement pour alerter les employés, a indiqué le directeur du centre Feu Vert. Elle les a informés que le client gisait inconscient et ensanglanté.
Hospitalisé une semaine
« Lorsque je suis arrivé, l’homme à terre reprenait ses esprits. On l’a assis. On a appelé les pompiers. Ils sont arrivés très vite. On a aussi contacté son fils, qui est venu récupérer la voiture », témoigne le responsable du garage au Figaro.
Les secours ont transporté le sexagénaire au centre hospitalier de Perpignan, où il est resté durant une semaine. Le bilan est lourd : fractures au visage, traumatisme crânien, plancher orbital brisé et mâchoire déboîtée.
Une enquête en cours
« J’ai été à deux doigts de perdre la vue, de perdre la vie aussi, tout ça pour gonfler un pneu, en plein jour, à Perpignan », a-t-il témoigné auprès de L’Indépendant, ajoutant : « Aujourd’hui, j’aurais toujours une apparence différente… On m’a mis un cercle en métal pour tenir mon œil. J’ai perdu en partie la vision ».
L’homme a déposé plainte et une enquête a été ouverte et confiée aux policiers du commissariat de Perpignan.
La femme qui se trouvait sur place lors de l’agression a pu retenir une partie de la plaque d’immatriculation du véhicule de l’agresseur. Les deux dernières lettres sont manquantes, mais elle bien vu le suspect et a indiqué qu’il circulait en fourgon blanc.
C’est le directeur de l’établissement qui a fait le relais auprès des policiers pour leur fournir les renseignements de cette cliente, qui, choquée, avait peur de témoigner.
Le suspect court toujours
Aux dernières nouvelles, près d’un mois après la terrible agression, le suspect n’a pas été identifié. Le garage était dépourvu de caméra de vidéosurveillance.
Détail sordide, ce jour-là, l’agresseur a même pris le temps de gonfler les pneus de son fourgon avant de disparaître. Joints par Le Figaro, les policiers de Perpignan ont confirmé que l’enquête se poursuivait, sans communiquer d’information. »