Pierre Bergé (milliardaire homosexuel militant), Xavier Niel (président-fondateur de Free) et le banquier d’affaires Matthieu Pigasse, dont Louis Dreyfus est un proche, sont devenus les actionnaires majoritaires du groupe en novembre dernier.
A deux doigts du redressement judiciaire, Le Monde a été sauvé in extremis lors d’une opération de recapitalisation complexe qui a vu l’arrivée du trio Berge-Niel-Pigasse qui contrôle désormais près de 60% du groupe.
Pierre Bergé, 80 ans, succède donc à Louis Schweitzer qui a démissionné de la présidence du conseil de surveillance en début de réunion.
Président du directoire, Louis Dreyfus devient donc l’homme fort de l’exécutif du groupe. Il a notamment été directeur-général du Nouvel Observateur et de Libération. Homme de confiance de Matthieu Pigasse, il est aussi directeur général de la société éditrice du magazine Les Inrockuptibles, qui appartient d’ailleurs au banquier d’affaires.
ce journal était déjà vendu de toute façon…
On remplace bonnet blanc par blanc bonnet.
Ce journal est en déficit chronique depuis la fin du règne de Beuve-Mery et ne s,est maintenu à flots que par des opérations financières mafieuses (acheter des journaux qui marchent avec l’argent que ces journaux sont censés rapporter ensuite, et utiliser les bénéfices desdits journaux pour financer le trou chronique du Monde) et par la complaisance extrème d’un système dans lequel il réussit à se faire une place comme organe de chantage.
C’est un fait divers interne à la tribut, elle seule sait le pourquoi du comment, et cela n’y changera rien à nous autres « bétails ». Peut être que le « monde » étant associé à « wikimossad », il a prit une valeur « sentimentale » pour quelques illustres mécréants. Le caniche de la mère Michue est mort de vieillesse, un oligarque échange un torchon avec un parvenu, les nouvelles de la cour sont passionnantes…