Des rassemblements ont eu lieu dans de nombreuses villes de France, suite au meurtre horrible d’une Française de 12 ans par des Algériens clandestins, afin de manifester écœurement et colère : « ça suffit ! » pense une part importante des Français, tandis que les autres n’en ont pas encore eu assez et restent confinés dans leur veulerie.
Mais voilà, ces rassemblements sont suspects – aux yeux de la caste politico-médiatique – d’être liés à l’« extrême-droite », c’est-à-dire aux patriotes français.
Les hypocrites accusations de « récupération et instrumentalisation politique » sont particulièrement odieuses :
1) D’abord parce qu’il ne s’agit pas d’un simple fait divers, mais du résultat d’une politique immigrationniste et laxiste qui dure depuis des décennies maintenant. On a donc le droit et le devoir d’en tirer des leçons et des conclusions politiques.
2) Ceux qui font semblant de s’offusquer sont les mêmes qui, au cours des 40 dernières années, nous ont inlassablement ressorti la carte magique de la Shoah, des camps, et l’éternelle musique du « plus jamais ça » pour contrer les aspirations nationalistes et identitaires ; les opposants au Système politique cosmopolite ont été ensevelis et balayés par les reductio ad hitlerum et des points Godwin brandis par l’empire médiatique, l’industrie du spectacle, et leurs adversaires politiques de tous bords.
Ce sont les mêmes faux indignés qui nous ont rebattu les oreilles pendant des mois avec la mort d’un homme (George Floyd) aux Etats-Unis, avec la mort d’un délinquant noir en France (Adama Traore), avec – jusqu’à l’obscénité – la mort par noyade d’un enfant migrant (Aylan) , toujours à des fins politiques.
Mais la mort atroce d’une petite Française (parmi de nombreuses autres victimes de francocides) n’a pas la même valeur à leurs yeux, et ils contestent même le droit à vouloir ne plus subir ce genre d’horreurs…
Henri Ménestrel (s’appuyant sur J. Bouhy)