Le ministre de l’Education nationale révèle le fond de sa pensée tyrannique à l’Assemblée nationale :
« Même là où il n’y a pas eu d’incidents, il y a eu de trop nombreux questionnements de la part des élèves.
Et nous avons tous entendu les « Oui je soutiens Charlie, mais », les « deux poids, deux mesures », les « pourquoi défendre la liberté d’expression ici et pas là ? »
Ces questions nous sont insupportables, surtout lorsqu’on les entend à l’école, qui est chargée de transmettre des valeurs »
Extrait de cette intervention :