On mesure à ce genre de chose l’incroyable puissance du lobby LGBT (qui ne représentait jusqu’à présent qu’une poignée de personnes), et l’effet de mode dont bénéficient toutes les idéologies de gauche.
L’entreprise publique, qui a pourtant d’autres chats à fouetter, entend elle aussi banaliser les mœurs inverties (considérées en France comme un délit et une maladie psychiatrique il y a encore quelques années)
CNews rapporte avec satisfaction :
« C’est une première en France. Durant un mois, la SNCF va faire circuler un train dont la rame avant se pare des couleurs arc-en-ciel du drapeau LGBTQI+.
Une initiative forte pour marquer son engagement dans la lutte contre l’homophobie.
Ce train circulera jusqu’au 7 juillet sur certaines lignes de France métropolitaine, selon Têtu. Dans le détail, ce TGV traversera les lignes Paris-Strasbourg, Paris-Reims, Paris-Allemagne, Paris-Luxembourg et Luxembourg-Montpellier, via Dijon.
Le magazine explique qu’il s’agit d’un partenariat exceptionnel entre la SNCF et Gare!, l’association LGBTQ+ du groupe. Le train, sorti des ateliers le 5 juin et dont l’apparence a été dévoilée par Gare! sur Twitter, présente la mention «Stonewall, 50 ans de fiertés LGBTQ+», affichée à l’avant, en référence aux 50 ans du soulèvement de 1969 après une funeste descente de police au «Stonewall Inn», un bar homosexuel de New-York.
Le patron du service presse de la SNCF Loïc Leuliette avait notamment précisé à Têtu, le 17 mai dernier, que le groupe voulait «marquer le coup à l’occasion de l’anniversaire des émeutes de Stonewall». «C’est une fierté d’être aux côtés de cette association, d’appuyer et d’aider cette commémoration. La SNCF est une entreprise inclusive, historiquement ancrée dans la lutte pour le respect des diversités et notamment LGBT+», avait-il ajouté. »
La SNCF parle un langage d’initiés pour un public averti et inverti, on est dans un entre-soi dégénéré : personne en France ne connaît ces « émeutes » dans un bar glauque pour déviants sexuels.
On voit d’ailleurs encore que pour le Système, il y a les bonnes émeutes face à la police, et les mauvaises.