« Après son accident vasculaire cérébral et la lourde opération qui l’avait suivi, Martin Jervis avait des chances infimes de s’en sortir. Une terrible nouvelle pour ses proches qui, refusant l’acharnement thérapeutique, s’apprêtaient à le laisser partir. Mais alors qu’il n’y restait plus que quatre heures avant le scan final qui devait déterminer quand il serait temps de débrancher la machine qui le maintenait artificiellement en vie, le Britannique de 61 ans, que tous pensaient condamné, a soudain ouvert les yeux. « C’était un choc complet » se souvient sa femme, Barbara « Nous devions lui faire nos adieux le jour même.» Une surprise d’autant plus grande que les équipes médicales avaient prévenu la malheureuse épouse : suite à sa chute inexpliquée dans leur maison de Bignall End, dans le Staffordshire, et au caillot de sang qui avait obstrué les veines de son cerveau, Martin Jarvis présentait un état de mort cérébrale. »
On peut craindre que certains médecins, qui se prennent un peu pour Dieu, se précipitent parfois un peu vite sur les organes…