« On peut rependre les immeubles tant qu’on veut, cela ne fera pas un acte violent de moins. »
Xavier Raufer* démonte ici l’idée reçue selon laquelle la violence en banlieue n’est rien d’autre qu’une conséquence de la pauvreté.
Si la violence des banlieusards n’est pas due à la pauvreté, il serait légitime que l’on se penche alors sur d’autres facteurs explicatifs.
L’immigration, au hasard?
François Bon
*Éminent criminologue, universitaire enseignant à Paris II, il travaille également sur les nouveaux dangers à l’échelle planétaire.
Via french carcan
Ah, quelqu’un de fondé!
Si la violence des banlieusards n’est pas due à la pauvreté, l’on. L’on quoi? Il en manque un bout? non?
[NDFrançois: oui, erreur technique ce matin, c’est corrigé. Merci]
En tout cas analyse intéressante.
http://www.dailymotion.com/video/x6sji1_le-sdf-fn-a-terre_news