Une tribune libre de Bertrand Estienne pour Contre Info : Après les propos insultants du footballeur au QI de poule, Lilian Thuram, sur les Blancs, c’est au tour de la militante « indigéniste » [sic] Rokhaya Diallo d’en ajouter une couche.
Dans un entretien au magazine bobo les Inrocks, tout en parlant de « fragilité blanche » face au « stress racial », elle affirme que que ce n’est pas la même chose de traiter quelqu’un de « sale Noir » ou de « sale Blanc ». Selon elle, les Blancs, par manque d’habitude, sont chancelant à la moindre évocation de la race.
A contrario, les extra-européens auraient l’habitude de subir des discriminations, des humiliations à cause de leurs origines. Mais dans le monde selon Diallo, c’est justement par ce que nous sommes des « privilégiés » que l’insulte raciste n’est pas vraiment une offense. Passons sur l’ineptie du raisonnement, notamment sur la valeur objective d’un acte ou bien sur la contradiction qu’il renferme, pour nous arrêter sur l’essentiel.
Grâce aux Diallo, Thuram, Dhorasoo et consort, il n’est plus possible pour un esprit qui cherche ardemment la vérité, de ne pas se rendre à l’évidence. Cette génération d’extra-européens pourtant gâtée (2 footballeurs, 1 universitaire, etc.), se retourne aujourd’hui vers la main qui l’a nourri pour la mordre à pleine dents ! L’heure n’est plus à réclamer l’égalité des droits – qui était déjà une aberration en soi – mais ils exigent désormais la soumission de l’Homme blanc.
Si ces discours racistes ont comme bénéfice de réveiller certaines consciences, ils participent également à l’écroulement d’un mythe, celui de la conception révolutionnaire de la nationalité. Selon le dogme républicain, peu importe le sang, l’antériorité historique sur le territoire ou même les services rendus à l’Etat, ce sont les papiers qui font foi.
Un Érythréen détenteur du RSA avec la double nationalité depuis 2 mois est « autant français » que le petit-fils d’un Poilu mort à Verdun.
Car dans la mythologie progressiste, la race n’existe pas. Elle ne peut donc pas faire partie de l’identité d’un individu, et ne peut être un élément constitutif de l’appartenance à une nation.
Si la race n’est pas à elle seule l’identité, si elle n’est pas non plus un absolu, elle est une part de notre héritage. Elle en est la matière, le support physique. Son altération irréversible par le métissage généralisé, signerait la disparition définitive de la France.
C’est en ce sens que nous pouvons remercier Diallo et sa clique d’abrutis. Leur idéologie dangereuse (pour nous) et l’échos qu’en fait une certaine presse, rappellent à la réalité de doux rêveurs.
Le « Vivre ensemble » est un mensonge, il n’a jamais existé et n’existera jamais. Si les Français de sang ne veulent pas maîtriser et dominer l’apport allogène, ce sera une partie du corps étranger qui s’emparera du pouvoir. Si les Français ne désirent pas assumer la maîtrise de leur destin, Diallo et Thuram s’en occuperont.
Bernanos écrivait en son temps : « Peut-être le vice est-il moins dangereux pour nous qu’une certaine fadeur ? Il y a des ramollissements du cerveau. Le ramollissement du cœur est pire. »