La dynamique Fondation Jérôme Lejeune propose aux jeunes une enquête argumentée et étayée sur le contenu et le sens du nouveau chapitre des manuels de SVT : « Devenir femme ou homme ».
Il s’agit d’un livret gratuit de 44 pages, pédagogique, consultable sur internet ou commandable.
Le feuilleter, le télécharger, ou le commander.
Citation du livre:
« La théorie du genre est une hypothèse selon laquelle l’identité sexuelle de l’être humain dépend de l’environnement socio-culturel et non du sexe – garçon ou fille – qui caractérise chacun dès l’instant de sa conception.
Autrement dit, notre sexe biologique ne serait pas plus déterminant que le fait d’être grand ou petit, blond ou brun : notre identité féminine ou masculine n’aurait pas grand chose à voir avec la réalité de notre corps.
La cohérence entre sexe et genre nous serait en fait imposée par la société. N’ayant pas le choix, chacun intérioriserait dès son plus jeune âge le rôle qu’il est supposé tenir dans la société comme femme ou comme homme.
D’après la théorie du genre, notre genre devrait être fondé sur notre orientation sexuelle, que nous sommes libres d’accepter. Celle-ci pourrait avoir des formes diverses tout comme elle pourrait évoluer dans le temps. Certains soutiennent qu’il existerait jusqu’à six genres : hétérosexuel masculin, hétérosexuel féminin, homosexuel, lesbienne, bisexuel et indiffrencié (ou neutre, c’est-à-dire ni homme,ni femme). »
Eux, ben non la « théorie du genre » (comme certains se plaisent à l’appeler) ne dit pas que le genre devrait être fondé sur l’orientation sexuelle…
C’est du grand n’importe quoi et j’aimerai bien connaître le nom des pseudo scientifiques qui affirment ça!
Du moins leurs théorie du genre le dit peut être, mais les « gender studies » n’ont jamais dit ça.
Tout comme il n’a jamais été question de dire que le genre « dépend de l’environnement socio-culturel et non du sexe – garçon ou fille – » mais plutôt de dire que ça dépend aussi de l’environnement… Ce qui est une grosse nuance.
D’ailleurs, même biologiquement on s’aperçoit que la notion binaire garçon fille n’est pas adapté puisqu’il existe des personnes intersexe (je parle pas de transsexuel) qui ont des chromosomes XXY (et d’autres combinaisons existent également) et dont les médecins peinent à la naissance à déclarer le sexe et à les ranger dans une case. Le livre en parle mais dit que ça n’est pas correct scientifiquement, qu’il s’agit juste de « phénotype (aspect) ». A ce que je sache avoir des chromosomes XXY c’est quand même génétique…
Enfin les psychiatres considèrent le genre comme étant l’intime conviction d’une personne d’être un homme, une femme ou une personne d’un genre intermédiaire ou différent (certains dont pas mal d’intersexe, ne sachant pas se ranger dans les 2 cases précédentes).
Bref vous l’aurez compris, je vous conseille de baser votre jugement uniquement sur ce livre (ni d’ailleurs sur ceux de 1ère…), et je vous souhaite bon courage dans le décryptage du torrent d’information qu’est devenu la question du genre.
Je suis actuellement scolarisé en école d’ingénieur au niveau bac +2 et devinez ce qui m’est tombé sur le coin du nez la semaine dernière…
Devoir d’anglais : « gender » (on appréciera le rapport entre le sujet et le type d’études que j’entreprens : ingénieur mécanicien…)
Le prof nous passe deux vidéos de travelos et c’est parti pour une heure et demie de dissertation.
Bien entendu, obligation de se placer des deux points de vue (il serait en effet fâcheux de se voir rembarer par les étudiants inconscients, fascistes, homophobes, intolérants, anti-IVG….)
J’ai tout de même écrit un pamphlet contre cette absurdité en terminant la conclusion comme il se doit en dénonçant la propagande gay pride.
Je n’ai pas encore les résultats de ce devoir mais il ne fait aucun doute que mon travail risque fort de ne pas plaire énormlément.
quelqu’un a dit que « l’absurdité rend fou ». Cette théorie du genre est destinée par son absurdité à rendre fou et à oubliger des débats avec une NON LOGIQUE donc une absurdité. Dans ce cas il ne reste qu’une chose à faire ignorer et fuir et laisser les personnes impliquées dans l’affaire parler à leur miroir.