La « réforme des institutions », qui sera au menu du Conseil des ministres d’ici à la fin du mois, est examinée de près par la franc-maçonnerie comme le relate ouvertement Le Parisien. Depuis quelques semaines, les francs-maçons du Parlement, selon le quotidien quelques 200 à 250 députés et sénateurs, surtout des sénateurs, des collaborateurs parlementaires ou des hauts fonctionnaires, ont décidé de se saisir du sujet.
« Christophe-André Frassa, le président de la « Fraternelle parlementaire », membre du GODF, sénateur de 50 ans, élu en 2008 pour représenter les Français de l’étranger, appartient au parti des Républicains. Mais au sein de la fraternelle, la notion de parti n’a pas vraiment de sens… Il explique :
« La réforme des institutions doit être synonyme de la défense de la République, de la séparation effective des pouvoirs, des libertés publiques et des droits parlementaires, des principes pour lesquels les francs-maçons ont payé de leur vie ».
Sic. A propos de la séparation effective des pouvoirs, il sera opportun que la République se sépare de la franc-maçonnerie. Mais il est vrai que ce serait dissoudre de fait cette République…
Dans quelques mois, les francs-maçons du Parlement se pencheront aussi sur les lois de bioéthique. Lois qu’ils ont préparé dans le secret des loges. »
Source LSB