C’est un fait divers significatif.
La ville de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) est lourdement et depuis longtemps colonisée. Les Français qui y sont restés sont ceux qui n’ont pas la possibilité de fuir cette zone modèle de la « France d’après », ainsi que les traîtres français qui veulent ce grand-remplacement et qui en vivent électoralement ou économiquement (ou les deux) : c’est typiquement le cas des élus communistes.
Ainsi, après l’assassinat par balles d’un Maghrébin de 25 ans et d’un Noir de 17 ans, qui a suscité une émotion compréhensible dans le quartier, on apprend :
1) qu’il s’agit d’un règlement de compte sur fond de trafic de drogue, donc entre truands, comme à Marseille.
2) que Sofiane, la victime de 25 ans, « identifié comme étant le chef du réseau local du trafic », était un militant communiste, pleuré à ce titre par la canaille rouge du coin :
« Il avait pris sa carte au PCF et il était membre de l’association Citoyens solidaires. « Il était très présent dans la vie locale […] », précise [l’ancien maire communiste]. [Elle] veut retenir surtout sa personnalité « attachante ». « Tout de suite, il déclenchait la sympathie ». Denis Vemclefs, élu d’opposition, renchérit : « Nous avions beaucoup de discussions sur l’avenir des quartiers populaires. Il avait une réelle conscience politique. » » (source)
Voici donc qui sont les citoyens exemplaires, avec une conscience politique, selon les politiciens remplacistes.
Il est vrai qu’avec cette conception des choses, ils auront la joie d’en trouver beaucoup…