Le maire de Rome, l’ex-fasciste, Gianni Alemanno a annoncé la construction d’un Musée de la Shoah dans sa ville au cours des prochaines années.
Ce Musée sera construit dans le secteur central de Villa Torlonia, dans une zone adjacente à la villa du Duce, Benito Mussolini, et à deux catacombes juives vieilles de deux millénaires, qui seront restaurées et ouvertes pour des visites.
Pour le directeur du musée, Marcello Pezzetti, il s’agit « d’intensifier la prise de conscience des Italiens quant à leur rôle pendant la Shoah ».
« L’Italie, comme l’Autriche, étaient alliées de l’Allemagne nazie – et non des victimes, comme la population le dit souvent. À la différence de l’Allemagne, nous n’avons jamais entamé de processus d’introspection.
Les italiens ne se sentent pas impliqués, ils ne se considèrent pas comme ayant collaboré.
Ce musée, qui couvrira l’histoire globale de la Shoah, mais aura une section spécialisée sur l’Italie, parlera directement aux Italiens et pas uniquement aux italiens juifs » a déclaré Pezeetti.
Le musée-temple sera divisé en trois sections : les archives, une bibliothèque et une importante médiathèque. Le cout estimé est de 25 millions d’euros.
« d’intensifier la prise de conscience des Italiens quant à leur rôle pendant la Shoah »
» À la différence de l’Allemagne, nous n’avons jamais entamé de processus d’introspection. »
L’Italie, nouvelle vache à lait ?
Les papous et les massaïs, qui ont osé rester indifférent au sort des juifs pendant la SGM, passeront surement un jour devant les tribunaux pour passivité et complicité de crimes contre l’humanité…
le fascisme institutionnel n’était pas « antimites », juste la racaille vaticane de la bourgeoisie minable lombarde. Le Duce déposé par le Grand Conseil sera délivré par le commando Skorzeny et renouera -trop tard-avec l’essence révolutionnaire des faisceaux.
L’Italie n’est pourtant pas le pays qui s,est le plus mal conduit à cette époque.
Manifestement, il y a de la gratte à se faire dessus.
Un vrai business.
C’est marrant quand on sait que le cinquième des juifs italiens (en gros avec les familles presque toute la communauté) étaient membre du parti fasciste à l’époque.