Rennes : un individu condamné 24 fois accusé des viol et meurtre brutal d’une femme de 73 ans à son domicile

Un cas particulièrement symptomatique de l’incapacité du Régime à assurer la sécurité des Français.

Comment ce type, accumulant 24 condamnations à 40 ans (sans compter les fois où il  a échappé aux griffes de la justice donc), peut-il être en liberté ? Et comment, s’il est immigré, peut-il encore avoir la nationalité française s’il l’a, et être présent sur le sol français ?!

Le 26 mars dernier, les services de secours sont appelés pour porter assistance à une résidente victime d’une agression «extrêmement violente», relate le procureur de la République de Rennes, Frédéric Teillet. Sur place, ils découvrent la victime, âgée de 73 ans, inconsciente, en arrêt cardio-respiratoire, «le visage tuméfié et couvert de sang en raison de multiples traumatismes». Son corps n’est alors vêtu plus que d’un soutien-gorge et d’un pull.

Une enquête «pour meurtre précédé ou suivi d’un crime, en l’occurrence le viol», est alors ouverte. […] L’enquête porte aussi pour des faits de vol, puisqu’une «boîte à bijoux de la victime a été retrouvée dans un jardin mitoyen». […]

Interrogés par les autorités, certains témoins des faits auraient indiqué avoir aperçu deux suspects près de l’appartement de la victime. Pour l’heure, seule la présence d’un suspect a pu être vérifiée grâce à la vidéosurveillance. «Connu pour être un marginal fréquentant une structure sociale proche des lieux», l’homme est âgé de 40 ans et très défavorablement connu des services de police et de la justice. Il est localisé et interpellé dans l’après-midi du 31 mars par des effectifs de la brigade criminelle de la DCOS et de la Brigade anticriminalité de Rennes, puis placé en garde à vue.[…]

Déjà condamné 24 fois pour vols aggravés, violences aggravées, menaces, agression sexuelle, infractions routières et «à la législation sur les stupéfiants», il avait été incarcéré en mai 2023 pour purger sa dernière peine, avant d’être libéré sans aménagement de peine en décembre 2024. Il a également été mis en examen par le juge d’instruction et placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention. (source)