Horrible affaire, hélas appelée à se répéter dans la « France d’après ».
Lundi 15 octobre, vers 22 heures, dans la « zone de sécurité prioritaire » [sic] des Hauts-de-Rouen :
« une patrouille de police se rend à proximité d’un sous-bois afin de secourir une femme. Cette dernière, en état de choc, a alerté la police en déclarant avoir été victime d’un viol en présence de son enfant, âgé de 2 ans. Prise en charge par des policiers de la brigade anticriminalité (BAC), la victime est conduite à l’hôpital pour y recevoir les premiers soins. Malgré le traumatisme, elle parvient à relater les circonstances de son agression.
La jeune femme explique avoir été surprise par un inconnu alors qu’elle venait de stationner sa voiture devant son domicile. Un homme a surgi et l’a empoignée et poussée à l’intérieur de son véhicule. L’agresseur monte à l’arrière et s’installe juste à côté de l’enfant de la victime, installé dans un siège auto. Très vite, l’inconnu menace de s’en prendre à son bambin si elle n’accède pas à ses demandes. Dans un premier temps, il exige de se faire conduire « au quartier », distant de deux kilomètres. Pour se faire obéir, il porte des coups à la fillette. La mère de famille obtempère et prend la direction indiquée.
La victime indique encore avoir entendu son agresseur passer un appel téléphonique au cours duquel il a indiqué « amener un cadeau » à son interlocuteur. Comprenant alors la situation, la conductrice cherche à gagner du temps, mais l’inconnu l’oblige à stopper son véhicule à proximité d’un sous-bois. La victime a ensuite été frappée par son agresseur puis violée. L’inconnu a fini par prendre la fuite. […] » (source)
Grâce à un portrait-robot, l’individu aurait été interpellé dans la rue hier (en possession d’un peu de drogue).