Venue enceinte de 4 mois à l’hôpital pour un cerclage du col de l’utérus destiné à empêcher un accouchement prématuré, elle repart avortée. La terrible histoire se déroule il y a une semaine à l’hôpital Saint-Vincent, à Lille. Deux femmes attendent au service gynécologie obstétrique, l’une pour un cerclage et l’autre pour avorter. Selon La voix du nord : « A 8h40, une étudiante sage-femme, déléguée par l’infirmière, débarque dans la chambre de la première avec des pastilles destinées à la deuxième : un médicament destiné à ramollir le col de l’utérus pour faciliter le curetage (NDLR : avortement), qui peut également interrompre une grossesse. Vers midi, au bloc opératoire, les chirurgiens constatent la présence de ces comprimés inappropriés. Ils les reprennent mais le mal est fait : la fausse couche se déclenche. »
La direction de l’hôpital se dit «catastrophée». Quant à la fautive, traumatisée par son erreur dramatique après une semaine seulement dans le service, son stage ne sera pas validé. Les médecin se veulent néanmoins rassurant puisque la victime pourra espérer avoir un jour des enfants.
Pitié!!!!!!!!!!Vous pouvez pas éviter ce genre d’image à la une! Vous pouvez trouver un systhème pour qu’on puisse avoir le choix de visionner ou pas? Ou prévenir?
Ca fait un choc……….
Effectivement ça fait un choc. Mais c’est une bien triste réalité , ne nous voilons pas la face.
C’est pour ça qu’il faut tout de même montrer ces photos aussi atroces qu’elles soient.
Ils osent dires « catastrophés », ils ont simplement la trouille, mais 200 000 avortements ont lieu chaque année !
C’est horrible cette histoire. J’espère qu’une plainte sera déposée contre cet établissement. Que la mère du défunt bébé trouve la force de poursuivre ces criminels pour lesquels un bébé assassiné ce n’est pas grave, on peut en « fabriquer » d’autre en remplacement.
Les hôpitaux sont au bord de la rupture de toute façon..
ça devient le tiers monde…
Quand le personnel médical est pas trop occupé à faire pondre des parasites voilés, il tue des européens dans le ventre de leur mère.Les gens qui nous gouvernent ont plus de sang sur les mains que le personnel débordé de travail qui a commi une erreur.
parmi les « parasites voiles »,il ya aussi des francaises de souche!!
Et l’autre enfant à qui était destiné ces pillules, a-t-il survécu? Ou bien a-t-il été achevé froidement car on a estimé que celui-ci ne méritait pas de vivre?
La maman qui s’est fait avorter par erreur aurait bien pu adopter l’autre enfant en reparation du crime.
Quand l’enfant est désiré on reconnait son importance, mais dans le cas contraire ce n’est plus qu’un amas de cellules.
Monde égoïste et hypocrite!
@ Fatima :
non, ce n’est pas le sens de l’expression « parasites voilés » justement…
désolé Oléa, c’est surtout pour ce bébé que cela a fait un « choc » … Et il ya en des millions comme ca chaque année rien qu »en Europe … Alors il faut montrer ces horreurs que l’on nous cache et que l’on nous cachera de plus en plus en plus avec les pilules du lendemain.
Pauvre enfant qui ne naitra jamais….
C’est horrible et en temps que soignant moi-même je ne sais pas comment la jeune élève pourra se remettre d’une telle erreur.
Mais Cette histoire reste malheureusement une lamentable erreur commise par une élève qui n’a pas respecter une des plus élémentaires règles dans notre métier ! Qui est de toujours se renseigner sur l’identité de la personne avant de faire n’importe quel soin !!
Et pour l’image, c’est de la provocation ! Parce que c’est un enfant de minimum plusieurs jours qui est dessus ! Après montage photo, photo d’un accident, d’un meurtre c’est une autre histoire mais c’est loin d’être un avortement.
Une pensée pour la mère et la famille….
Medico,
Je ne trouve pas normal qu’une stagiaire présente dans l’établissement depuis seulement une semaine (d’après l’article de la Voix du Nord) soit autorisée à administrer SEULE des produits dont l’effet est de tuer une vie. Les conséquences sont trop importantes pour que cela soit traité de façon aussi légère. Elle devrait être accompagnée par quelqu’un d’expérimenté, en tous les cas, elle ne devrait pas être autorisée à administrer les produits abortifs seule dans les premières semaines de son arrivée. D’ailleurs, c’est l’infirmière qui l’a déléguée pour le faire. Elle est tout aussi fautive !
Afin de mieux se consacrer à sa grossesse, la mère avait démissionné de son travail. Elle et son mari sont très ébranlés par cette nouvelle. Ils attendaient cette grossesse depuis plusieurs années.
Des appels à la prière ont été lancés sur plusieurs sites musulmans pour soutenir dans cette épreuve Zara et Brahim…
http://www.ajib.fr/2011/05/zara-erreur-medicale/