Vincent Reynouard n’a pas le droit à cette clémence…
Une mère de quatre enfants qui a noyé et enterré trois nouveau-nés, conçus avec un mari tyrannique et violent qui n’en voulait pas, a été condamnée jeudi à une peine de cinq ans de prison avec sursis par la cour d’assises du Loir-et-Cher.
Les jurés ont assorti cette peine, conforme aux réquisitions du Parquet, d’une mise à l’épreuve pendant trois ans, avec obligation de soins.
On dit qu’avorter, ce n’est pas tuer.
Mais depuis que ce meurtre légal est entré dans les moeurs, les infanticides sont peu ou pas sanctionnés.
Preuve qu’avorter, c’est tuer… C’est parce qu’on avorte qu’on ne punit plus les infanticides.
La vie d’un foetus vaut moins que celle d’un bébé, la vie d’un bébé moins que celle de sa mère.
Les Juifs ont raison; ils s’organisent, ils font des associations, ils braillent à qui mieux mieux, résultat : ils foutent en taule qui ils veulent, ils ruinent qui ils veulent. Y’a que comme ça qu’on devient intouchable. V.R. en fait l’expérience.
Les foetus et les nouveaux-nés n’ont pas cette chance; pas de LICRA pour eux, pas de SOS Racisme, rien, pas de voix.
Alors que tous les jours on compte de nouveaux morts. La LICRA agit au nom de PETIT-FILS/FILLES de déportés. Qui ne sont guère menacés. Et au nom de victimes d’hier seulement, contre un massacre qui SE DEROULE ENCORE, rien, pas une protestation, pas un procès possible.
Non que nous voulions faire des procès. Mais au vu de cette disproportion, les procès des uns apparaissent ridicules.
Je trouve pas qu’on puisse comparer ces deux cas. Même avec les d’autres cas d’infanticides. J’ai lu l’article en entier et franchement vu ce qu’a vécu cette malheureuse on peut comprendre qu’elle n’ai pas résonné et agit normalement à certains moments.Violée et battue par son père, elle se casse avec le premier venu à 14 ans dans l’espoir qui la sorte de sa misère. Finalement lui aussi la bat et viole ses enfants, l’oblige à un avortement illégal. C’est une histoire glauque, sordide. C’est une femme qui a enduré d’atroces souffrances, seule, sans soutien, ce qu’elle a du ressentir à certaine période de sa vie, on ne peut même pas se l’imaginer.
D’accord avec Olea. Il faut se poser la question : Que faire pour parer à une telle déviance de comportement ? Concernant tous les acteurs de cette tragédie, y compris le père de cette femme. Que pouvons et devons nous faire afin qu’une personne ne soit plus isolée et désarmée face à un monstre sévissant au sein d’une famille ?
Si les mères de famille pouvaient prétendre à un revenu parental, ces cas « glauques » pourraient se terminer de façon plus heureuse.
Ce qui est frappant ce sont les réactions des gens. De nombreuses personnes hurlent au meurtre concernant le cas de ces nouveaux-nés, pour seul motif qu’ils ont été tués après l’accouchement. Mais si elle les avait tués avant l’accouchement, ce n’aurait pas été un meurtre mais un avortement, un « IVG » comme ils disent. A quelques mois près, quelles différence y a-t-il entre l’élimination d’un bébé à naître et d’un bébé né ?
A partir de quel moment est-il barbare de tuer son enfant ? Une fois qu’on peut le voir de ses yeux ?