« Et l’on ne meurt que lentement des blessures de l’utopie »
« Et l’on ne meurt que lentement des blessures de l’utopie » confesse dans son Roman Inachevé le staliniste – désabusé – Louis Aragon. 60 ans plus tard, les utopies sont omnipotentes et rongent nos sociétés. Le cosmopolitisme et tous ses corollaires sont aux yeux de beaucoup, des « valeurs » universelles, incontestables et inarrêtables. … Continuer la lecture de « « Et l’on ne meurt que lentement des blessures de l’utopie » »