Le 9 mai 1994, le jeune militant nationaliste Sébastien Deyzieu rendait l’âme, victime de la répression, lors d’une manifestation organisée par le GUD et d’autres associations.
Il était âgé de 22 ans.
Le traitement médiatique n’eut évidemment rien à voir avec l’affaire Malik Oussekine, qui en son temps entraîna d’ailleurs la démission d’un ministre.
Là le gouvernement, dont le ministre de l’Intérieur était le gaullo-mafieux Charles Pasqua, ne fit montre d’aucune émotion.
Chansons des groupes de « rock identitaire français » In Memoriam et Vae Victis dédiées à Sébastien Deyzieu :
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Charles Pasqua avait avoué que » Nous avons commis la plus belle escroquerie du siècle en faisant croire que nous étions de droite »
On ne sait ce qu’il est devenu dans l’au delà. Il y a un Juge pour toutes les actions de la vie. (Gérard Bedel : Le Gaullisme).
On m’avait signalé que « tante Yvonne était allée visiter Marthe Robin pour savoir ce qu’il était devenu après son décès . Elle lui aurait répondu que ce n’était plus la peine de prier pour lui car il est en Enfer. nous devons avec ces cas avoir sans cesse la visions des tourments éternel en cas de fautes graves ou moins graves.