Pas besoin d’ajouter de nombreux commentaires à ce fait très significatif.
Le Système se moque des Français. Des crapules étrangères mènent des vies entières de méfaits à leur encontre. Mais quand il s’agit de réprimer des patriotes, la police et la justice sont non seulement sans pitié, mais iniques et cruelles (voir par exemple et par comparaison l’affaire Méric, par laquelle deux jeunes patriotes ont fait déjà 10 ans de prison pour s’être défendu contre une racaille d’extrême-gauche venue les agresser).
« […] Avec 19 condamnations dont deux pour viols (le premier commis en 2003), c’est un prévenu au casier judiciaire particulièrement lourd qui était jugé en comparution immédiate, jeudi 9 mars 2023. Vernon Mounkala était à la barre pour deux séries de faits commis à Soissons. Le 2 mars 2023, il a tenté de fouiller dans le véhicule d’un homme qui faisait des allers-retours entre sa voiture et son domicile. Il s’est montré très agressif envers la victime en lui proférant des menaces de mort. Par des coups de balai, le Soissonnais a réussi à mettre en fuite son agresseur. « Si je voulais le tuer, j’aurais pas pris la fuite », s’est défendu le prévenu. Ce dernier a assuré au tribunal qu’il n’était pas dans son état normal ce jour-là et qu’une personne l’avait sans doute drogué en boîte de nuit avant qu’il ne commette les faits.
À ce premier dossier s’ajoutait un second plus grave et plus récent. Encore à Soissons, un autre homme a été agressé par deux individus qui cherchaient à lui retirer son téléphone portable, mercredi 8 mars vers 16 heures. Essayant tant bien que mal de se défendre, la victime a subi un coup de couteau sur son avant-bras gauche, donné par l’un des assaillants, lesquels ont ensuite pris la fuite sans parvenir à récupérer l’objet qu’ils souhaitaient dérober. Le groupe de sécurité publique de la police soissonnaise a réussi à interpeller peu de temps après l’un des deux individus.
Après avoir décrit la scène aux policiers, la victime a reconnu le profil de Vernon Mounkala sur une planche photographique. Un homme de type nord-africain, cheveux noirs coiffés en tresses, habillé d’un blouson noir et d’un sweat orange.
Il portait un bracelet électronique pendant les faits […] » (source L’Union)