Lu dans La Capitale :
« Il nous revient également que lors de sa planque à Forest, rue du Dries, où a eu lieu une fusillade la semaine dernière, Salah Abdeslam ne serait pas resté constamment caché. Deux témoins ne se connaissant pas entre eux l’auraient vu venir se ravitailler à deux reprises au moins à la friterie voisine de la place Saint-Denis. Les gérants, quant à eux, nous nous ont déclaré ne pas avoir remarqué la présence de l’ennemi public numéro 1. »
Comme si, dans ce quartier, un type connu et recherché partout en Europe pouvait aller tranquillement s’acheter des frites incognito.
Il est évident que la population le cachait, par solidarité.
Rappelons que lors de son arrestation, des jeunes habitants de ce quartier occupé s’étaient attroupés face aux forces de l’ordre, leur lançant pour certains des bouteilles et des verres.