Comme d’habitude, le Régime profite de l’émotion suscitée par la mort de Français (ici une policière égorgée à Rambouillet par un immigré clandestin qui avait tout de même bénéficié d’une régularisation…) – mort dont il est directement responsable par sa folle politique d’immigration – pour renforcer ses moyens de surveillance de masse à des fins politiques.
C’est-à-dire que ces violations inadmissibles des libertés (et au premier rang desquelles le respect de la vie privée), que les ancêtres des Français n’auraient jamais supportées, ont pour but non pas la sécurité des Français mais la conservation du Système politique en place, qui veut, en donnant libre cours à ses penchants totalitaires, simplement se protéger, en particulier des dissidents patriotes.
« Un projet de loi visant à «pérenniser» des mesures contenues dans la loi antiterroriste de 2017 et la loi renseignement de 2015 va être présenté mercredi en Conseil des ministres, a annoncé Gérald Darmanin au Journal du Dimanche. […]
Un volet «technologique» est enfin développé, afin «d’être plus efficaces sur le terrain de la technologique qu’utilisent les terroristes», affirme Gérald Darmanin au JDD. «Le texte prévoit d’actualiser le recours aux algorithmes, c’est-à-dire le traitement automatique des données de connexion par la DGSI», poursuit-il. Le projet de loi prévoit en outre de faciliter l’interception des conversations par voie satellitaire et d’allonger la durée autorisée pour recueillir des données informatiques à deux mois. Les drones qui survolent des zones d’interdiction pourront également faire l’objet d’opération de brouillage. Le coordonnateur national du renseignement Laurent Nuñez a souligné samedi sur BFMTV «l’importance de cette technique avec des individus de plus en plus isolés dont les seules traces sont les traces numériques».
Ce texte vient pérenniser la loi sur la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme (Silt) de Gérard Collomb qui avait été adoptée en octobre 2017 pour prendre le relais de l’état d’urgence mis en place après les attentats de novembre 2015. […]
Ces mesures controversées ont été prorogées en décembre 2020 par le Parlement jusqu’au 31 juillet 2021, date butoir pour l’adoption du nouveau projet de loi. La loi renseignement de 2015 contenait également une clause de revoyure (engageant l’exécutif à réexaminer les dispositions législatives au terme d’une période) s’agissant notamment de l’expérimentation de la technique dite «algorithme». Cette technique permet d’analyser des communications échangées au sein du réseau d’un opérateur pour détecter les menaces. » (Source Le Figaro)