La ville de Strasbourg, aux mains des gauchistes escrologistes (EELV) élus par des traîtres à la France, a voté lundi une subvention de 2,5 millions d’euros, venus des contribuables, pour financer la construction d’une mosquée géante, qui plus est non pas indépendante mais liée au pouvoir turc.
Le gouvernement n’est pas très content car les responsables de la mosquée, le méprisant, ont refusé de signer sa « charte des valeurs de la République ».
Les scandales s’entremêlent dans cette affaire.
« L’État n’a formulé aucune alerte sur ce projet, ni sur l’association », a écrit le maire étranger de la ville, Jeanne Barseghian, mercredi, dans un courrier au président de la République. Ce jeudi matin, c’est le premier adjoint, l’étranger Syamak Agha Babaei, qui est monté au créneau, s’étonnant auprès des Dernières Nouvelles d’Alsace (DNA) qu’il n’y ait eu «à aucun moment de notes de la part de la préfète [sic] ou de ses collaborateurs».
De son côté, le préfet du Bas-Rhin accuse le maire EELV de Strasbourg d’avoir menti, et assure qu’il a mis en garde la municipalité au sujet de ce projet.
Les responsables de la ville autrefois alsacienne entendent faire taire les critiques du gouvernement en disant qu’ils n’ont pas été informé par ce dernier des liens entre la mosquée et le pouvoir turc, qui entend faire de ses immigrés en Europe un outil d’influence, sinon un bras armé.
Comme si la mairie ne pouvait pas se renseigner elle-même sur un projet énorme qu’elle veut financer à coups de millions !
Ces gauchistes étrangers n’osent pas avouer que le remplacement de civilisation et de population ne les dérange nullement ; au contraire…
Bonus :
regardez l’affiche d’appels aux dons de ces conquérants turco-islamiques.
Pour eux, c’est clair : la notion trafiquée de « vivre-ensemble », rabâchée par les politiciens, signifie l’érection de mosquées gigantesques sur la terre de France.