Tribune libre
Ce mardi soir, la capitale alsacienne, et plus particulièrement son célèbre Marché de Noël, ont été le théâtre d’une attaque sanglante.
Ce que l’on sait :
► un homme a ouvert le feu à l’arme automatique dans les rues du centre-ville de Strasbourg. Le bilan ce matin est, d’après la préfecture, de 3 morts, 8 blessés graves et 5 blessés légers. « Les militaires de la force Sentinelle ont fait usage de leurs armes pour tenter d’intercepter l’assaillant. Entre 20h20 et 21 heures il s’est confronté par deux fois à nos forces de sécurité avec systématiquement des échanges de tirs » affirme le ministre de l’Intérieur. L’assaillant aurait été blessé mais il est toujours en fuite.
Il a commencé à tirer à 19h50 (dixit le Figaro).
Il a donc pu semer la terreur pendant plus d’une heure dans les rues du centre de Strasbourg sans être arrêté par la police…
Il est en fuite (et aurait été blessé au bras par les militaires).
► Se pose forcément la question de savoir comment il a pu agir ainsi et surtout pendant si longtemps, dans une zone archi-surveillée en cette saison (police équipée de mitraillettes, armée), alors qu’en plus tout le monde est sensé y être fouillé.
Le maire de Strasbourg lui-même, qui connait bien le dispositif, avoue sa stupéfaction au Parisien : « Je ne sais pas comment il a pu entrer dans cette zone où tout le monde est fouillé par les policiers ».
Images d’horreur dans les rues de Strasbourg (public averti) :
► Les médias français ont tardé à révéler l’identité de l’assaillant, contrairement aux médias étrangers. Il s’appelle Chérif Chekatt et est né en 1989, à Strasbourg. Il a la nationalité française, comme tout le monde actuellement.
Très connu des services de police, il avait déjà fait l’objet de 27 condamnations (!) (donc d’au moins deux fois plus d’arrestations) pour des faits de droit commun. Il était l’objet d’une « fiche S » pour islamisme suite à un passage en prison en 2016.
► la gendarmerie était venue ce mardi matin perquisitionner son domicile et l’appréhender (pour une affaire de « braquage avec tentative d’homicide ») mais il n’était pas là (hasard ? fuite d’un sympathisant parmi les « forces de l’ordre » ?).
Cela l’a peut-être incité à passer à l’acte.
► il est évident que ce drame rend service à un régime en très mauvaise posture, déplaçant l’attention des Gilets jaunes vers autre chose et permettant de réduire encore davantage les libertés publiques (de manifester et de ne pas être espionné ou arrêté arbitrairement, notamment).
Nous nous garderons bien de dire que le gouvernement a déclenché ou permis cette attaque mais, quoiqu’il en soit, en dernière analyse, c’est bien le régime qui est responsable de la survenue du terrorisme islamiste et de l’ensauvagement de la France, par sa politique d’immigration massive et incontrôlée dont tout le monde sait – à part les illuminés gauchistes – à quoi elle mène.
► Le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez, fait semblant de s’indigner des « thèses complotistes » autour de ce nouvel attentat.
.@LaurentNunez, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur : « Je suis indigné […] on est clairement dans les thèses complotistes » #le79inter #Giletsjaunes #Strasbourg pic.twitter.com/b1AMJDEjIj
— France Inter (@franceinter) 12 décembre 2018
Pourtant, c’est lui qui devrait être rouge de honte et se cacher : son Système – avec ses politiciens pourris, ses lobbies, loges maçonniques et réseaux occultes, ses institutions mortifères – est responsable de tout cela.
Par ailleurs, il faut être d’une naïveté coupable pour croire que la République, même si ce n’est pas le cas ici, ne s’autorise pas des coups tordus, même sanglants, pour servir sa stratégie et ses intérêts.
Pour en finir avec le terrorisme, la solution est très simple :
déchéance de la nationalité et remigration.
Plus que jamais, une révolution nationaliste est nécessaire.