Suède : La tombe d’une fillette tuée par un immigré (terroriste) a été vandalisée à plus de 30 reprises par un migrant

Ebba Åkerlund, âgée de 11 ans, était l’une de ceux qui ont été brutalement assassinés par Rakhmat Akilov, un immigré illégal islamiste, en avril 2017 lors d’un attentat au camion-bélier à Stockholm. Maintenant, un autre migrant se consacre à détruire systématiquement la tombe d’Ebba. Au lieu d’être expulsé du pays conformément aux décisions d’éloignement, il est remis en liberté par la police encore et encore.

C’est le père d’Ebba, Stefan qui, dans un message Facebook, questionne le comportement de la police au sujet de l’auteur, qui à plus de 30 reprises, a vandalisé la tombe de Ebba. Lors de plusieurs de ces crimes, l’homme a été arrêté par la police mais a réitéré les faits après avoir été relâché après une heure d’interrogatoire.

Selon Stefan, c’est le même schéma qui dure depuis six mois maintenant: l’homme casse, vandalise la tombe de Ebba, est arrêté par la police mais est immédiatement remis en liberté. Stefan pose un certain nombre de questions ouvertes à la police et aux autres responsables, qui peuvent être résumées comme suit:

Comment l’homme condamné à l’expulsion n’a-t-il jamais quitté le pays?

Pourquoi n’est-il pas condamné à une peine d’emprisonnement d’un an, comme indiqué dans le jugement, s’il viole la décision d’expulsion?

Pourquoi l’expulsion n’est-elle pas effectuée et pourquoi est-il relâché, en liberté malgré les délits?

Stefan lui dit qu’il a personnellement pris l’homme en flagrant délit alors qu’il était en train de vandaliser la tombe d’Ebba. Tout ce qu’il a obtenu de la police est un « c’est un bon travail », puis le migrant a été relâché.

Dans l’article sur Facebook, Stefan tient les politiciens suédois pour responsables de la mort de sa fille, ce qui pourrait arriver à nouveau à cause du genre d’inaction qui se répète maintenant avec celui qui vandalise la tombe de Ebba. Il cite un célèbre article de l’industriel Leif Östling intitulé (Nota: Un article pamphlet). Etant donné que la loi et l’ordre ne sont pas maintenus en Suède, les parents peuvent en payer le prix ultime.

Le message du papa de Ebba  et Samnytt.se via FDS