Dimanche 10 mai, à Härnösand en Suède, Tommie Lindh, un jeune homme de 19 ans surprend une scène glaçante : une jeune fille (14 ans) est en train de se faire violer par un Africain. Il sent le sol se dérober sous ses pieds mais ne réfléchit pas, il fonce. Une bagarre éclate. Tommie ne pense qu’à protéger celle qui pourrait être sa sœur. Malgré la différence d’âge (le migrant a 22 ans), Tommie ne recule pas et tente de repousser le violeur.
Face au courage de ce jeune Suédois, le migrant voit rouge. Il sort un couteau. Tommie refuse de s’écarter. Il est alors poignardé à plusieurs reprises. L’adolescent s’effondre sur le sol. Quelques heures plus tard, il décèdera à l’hôpital.
Le meurtrier, un migrant soudanais de 22 ans, était bien connu de la justice suédoise pour « agressions sexuelles, violences et vol à l’étalage ».
Il n’a pas été expulsé et n’était pas en prison, ce qui a abouti à un viol et au meurtre d’un jeune indigène.
Les Européens payent cher l’invasion migratoire.
Un autre détail a été bizarrement « omis » par la presse traditionnelle suédois, ce jeune homme tué était membre du parti nationaliste « Alternativ för Sverige » (Alternative pour la Suède).
Source Samnytt
Via Belgicanews