On croirait un sketch pour une chaîne locale ouzbèke, fait avec un budget minable, dans un décor au rabais, avec des acteurs mauvais, vulgaires et surmaquillés.
Mais non : c’est la soirée que François Hollande – et sa maîtresse du moment – ont passé avec le Premier ministre israélien, lors du voyage du président français en Palestine occupée.
Après le numéro de la cantatrice (et de sa raffinée pianiste), Hollande trinque à la santé de ses maîtres et précise « [si j’avais] été obligé de chanter, je l’aurais fait. Même en chantant aussi mal que je chante, j’aurais toujours trouvé un chant d’amour pour Israël et pour ses dirigeants. Et maintenant on ne pourra voir que la vie en rose », avant de brandir un objet ridicule symbolisant la paix.
Hollande, qui semble déterminé à humilier la France jusqu’au bout, avait-il au moins l’excuse d’être ivre-mort à l’issue de ce dîner ? Ou les services secrets israéliens l’avaient-ils drogué ?
On peut craindre que non…