M’jid El Guerrab, député LREM, a violemment agressé un certain Boris Faure, militant PS, à coups de casque.
Selon Marianne, la scène fut particulièrement violente : « Un témoin raconte : « Ils commencent à discuter et au bout de quelques minutes, le député lui assène un coup de casque très violent puis un deuxième. L’autre tombe par terre, en sang ». Selon cette source, l’élu était particulièrement remonté : « Si les agents de sécurité ne les avaient pas séparés, il se serait acharné. Il avait de la haine dans les yeux ». Boris Faure est quant à lui touché au niveau de la tempe. Les agents de sécurité de Paris Habitat, dont les locaux sont situés en face du restaurant, ont dû empêcher l’élu d’aller plus loin. Philippe, un de ces vigiles, estime que l’élu était hors de lui : « Si on ne l’avait pas arrêté, il aurait continué à le tabasser ». »
Alice* était « la première à les défendre, à dire que leur vie n’est pas facile ». « Les », ce sont les migrants de Calais.
« Je les vois encore… Je crois que je suis encore sous le choc, je n’ai pas encore réalisé que j’ai eu de la chance. On se dit toujours que ça n’arrive qu’aux autres… » raconte cette jeune fille de 20 ans, qui a déposé plainte pour vol et agression sexuelle en réunion lundi matin.
Elle vient de rater le train qu’elle prend pour rejoindre l’Université, décide d’attendre le prochain en allant fumer une cigarette. « Il y avait des migrants en retrait, sur un carré d’herbe. Je ne faisais pas attention à eux. Ensuite, j’ai senti qu’on m’attrapait le bras, ils m’ont collée contre le mur. L’un a fouillé mon sac, il l’a vidé à terre. Un autre m’a attrapée à la gorge pour que je ne bouge pas et m’a touché le haut du corps. »
L’ex-Femen qui avait déposé plainte pour avoir été agressée et tondue par cinq salafistes s’est retrouvée en garde-à-vue pour dénonciation d’un délit imaginaire…
Une issue que tout le monde prévoyait tant le récit de l’agression était farfelu : Amina avait écrit avoir été agressée à 5h à la sortie du métro, avant de réaliser sans doute qu’il n’y avait pas de métro à cette heure-ci et de changer l’heure pour 6h30…
Elle avait posté une photo montrant ses cheveux soit-disant « rasé », avec exactement la même coupe que la veille…
Bref, la seule chose plausible dans son histoire était la présence de salafistes place de Clichy, mais apparemment même eux ne s’intéressent pas à elle. La pauvre petite devait manquer d’attention, ou de lecteurs pour son livre, comme nous le pressentions le jour même de l’agression !
Il fallait attendre que les (nombreuses) caméras de la place de Clichy parlent : elles ont rendu leur verdict, aucune agression n’a été filmée…
Il faudra tenter de trouver une version des faits un peu plus cohérente pour la prochaine tentative d’intox ou de buzz ! Décidément, rien ne va plus pour les Femen ou ex-Femen !
Voici le témoignage édifiant d’un ami d’un militaire du 126ème régiment d’infanterie de Brive qui raconte comment des « chances pour la France » agressent des familles de militaire, tabassent une femme enceinte de 3 mois à tel point qu’elle perdra son enfant et poignardent dans le dos un jeune engagé. La police ne fait rien pour protéger les familles et met les militaires qui se défendent en garde à vue. Quant à la réaction de la hierarchie militaire, ça se passe de commentaire…
Bonjour, Je tiens à informer que des évènements graves se déroulent actuellement sur Brive, garnison du 126ème RI! L’histoire commence dans une résidence privée ou des familles avec enfants profitent de ce qui paie! Des gens de la cité voisine, viennent squatter,seulement ils commencent a mettre le souk donc une invitation à sortir leur est faite car leur dérive commence a devenir dangereuse, pour les enfants notamment! Un mili étant avec sa compagne sur les lieux, leur demande de quitter les lieux, le ton monte car ces messieurs sont accompagnés et sont en bande! ça dégénère, un autre militaire arrive et la situation dégénère, le second militaire accompagné de sa compagne enceinte tente d’arrêter ça car son compagnon se fait passer à tabac! Elle se fait à son tour prendre à partie alors qu’elle est enceinte et que cela se voit!!! Bilan, elle finit à l’hôpital et perd son petit garçon à la suite des coups reçu!!! Il nous semble que cet acte porte un nom et fait partie d’une certaine catégorie! Le lendemain, des militaires se réunissent et vont dans le quartier concernés! Ils y vont non armés comme certains pourraient le prétendre! Le ton monte parce que « eh les militaires vous faites quoi chez nous!!! » je ne cite que les débuts des propos qui sont soft car la suite, vous pourrez l’imaginer amplement! ça commence à courir, forcément ça galope bien en face donc aucun coup aura été donné de la part des militaires! seulement en face, les gens du quartier ont tirer sur les militaires à coups de feu! A l’arrivée des forces de l’ordre et afin de ne pas trop envenimer les choses les militaires décident de quitter les lieux sans heurt avec les forces de l’ordre que nous respectons!!! Les jeunes eux, par la suite s’en prendront à eux et aux pompiers venus pour éteindre les différents feux! Le lendemain, 3 militaires isolés en ville dont un gars des iles se sont fait prendre en embuscade par les gens du même quartier, un militaire prendra un coup de couteau et finira à l’hôpital! Les gens de ce quartier n’en resteront pas là, ils iront aux abords de la résidence et donnent des coups de feu sur les appartements des militaires! Le soir même,tard, après ces évènements, le régiment est rassemblé par le chef de corps, annonce faite de la mort du bébé et des incidents, appel au calme fait par le chef de corps et les hautes autorités! seulement décision d’interdire la sortie aux militaires, notamment à tous les tahitiens! Renfort de CRS arrivé sur Brive, car peur que d’autres garnisons ne s’en mêlent,il faut dire et surtout avouer que Brive n’est pas la seule garnison à avoir des soucis avec les quartiers! Seulement impunité des gens du quartiers des chapélies qui viennent provoquer aux abords direct de la caserne et menacent entre autre tous militaires rentrant du dimanche, trajet gare/ caserne qui passe par chez eux! Aucune interpellation des gens concernés par la mort de ce bébé,par contre le papa et 2 autres militaires sont placés en garde à vue!!! Dimanche soir un jeune engagé, rentrant de ses perms et n’étant pas au courant des évènements a été attaqué par derrière et à subi des coups de cutter dans le dos! A savoir que lors de la venue des militaires dans ce quartier pour voir les auteurs! les militaires n’étaient pas constitués de casseurs, voleurs ou autres types d’individus malsains et sans valeurs! Ce matin 2 autres étaient appelés pour soi-disant témoignage ce matin à 9 heures du matin, en fait ce n’était pas pour prendre des témoignages mais pour placer des militaires en garde à vue! Là, je parle pour l’un d’eux, qui est mon ami, mon frère d’arme et je peux garantir les yeux fermés, qu’il n’y a pas plus « CLEAN » que lui car ce CCH est d’une valeur inestimable, toute personne le connaissant pourrait se porter garant de crédibilité! A notre plus grande surprise (Mauvaise), les médias ne relatent que très peu les faits, laissant même entendre que les fauteurs de trouble seraient les militaires! Les commentaires de certains compatriotes sont tout simplement insultants pour rester au premier degré! Nous nous demandons ou est la justice? Pourquoi les policiers ne sont-ils pas avec nous alors qu’ils ont tous les éléments? Pourquoi les médias nous salissent-ils comme ça?? Pourquoi? et de qui viennent les ordres? Je crois que si nous nous posons les bonnes questions, les réponses font peur…………!
Pour l’instant il n’y a que France 3 qui parle de cette affaire en déformant la réalité.
Ce genre d’affaire est symptomatique pour deux raisons : il apparait que certains musulmans veulent faire appliquer la charia à leurs « frères » mais aussi aux dhimmis, et une fois de plus la couverture médiatique de cette affaire est ridicule. 3 ligne dans Le Parisien… Imaginez un juif se faisant casser la gueule car il mange casher… Un ministre serait déjà en route pour rencontrer le rabbin du coin et réaffirmer « la volonté du gouvernement de la République de condamner fermement etc… etc… »
dans la video visible ci-dessous, on aperçoit (à 1’10) Clément Méric (l’affaire ici) en rouge avec sa bande d’« antifas » venir s’en prendre à une pacifique « Manif pour tous » en avril. Un peu plus tôt il franchissait la ligne du service d’ordre pour aller sur des manifestants. A 15’34, l’« étudiant modèle » fait partie du groupe pénétrant dans un bâtiment pour agresser des manifestants.
Ce jour-là, les belliqueux gauchistes se sont adonnés à des provocations mais il y eut aussi des échauffourées qu’on ne voit pas sur la video.
Clément a eu tort de se laisser entraîner par des débiles haineux.
Résultat : ce jeune bourgeois étudiant à Science-Po a trouvé la mort accidentellement en s’en prenant à des prolétaires patriotes, qui se sont logiquement défendus, de façon proportionnée…
Hier à Paris, près de Saint Lazare, une rixe a opposé quelques jeunes nationalistes (dont une femme, pas encore identifiés) à plusieurs militants d’extrême-gauche (se faisant appeler « antifas ») qui semble-t-il les ont provoqué et menacé, les attendaient, et qui ont porté les premiers coups.
Cela s’est produit à l’issue d’une vente privée de vêtements Fred Perry, où l’année dernière des militants d’extrême-gauche avaient déjà guetté et attaqué des patriotes, en blessant un à la tête.
Après avoir reçu un coup, un jeune « antifa » est tombé et sa tête a alors heurté un plot en métal. Ce choc accidentel a été fatal à Clément Méric, 19 ans (qui n’était pas un pacifiste comme le disent mensongèrement les médias : voir ici).
Aussitôt, c’est l’emballement médiatique contre « l’extrême-droite » : on présente cela comme une « agression », presque un meurtre avec préméditation !
La vérité est que depuis quelques années, des dizaines d’activistes d’extrême-gauche, notamment à Paris, ont pour seule préoccupation d’attaquer des militants de droite nationale ou radicale : lors de rassemblements ou lorsque ces derniers sont isolés. Même les femmes n’y échappent pas, ni les commerces d’ailleurs.
Lors de la plupart de ses attaques, qui s’accompagnent pour les gauchistes d’une étonnante impunité policière, les agresseurs utilisent des armes et n’attaquent que s’ils sont en surnombre.
C’est miracle qu’il n’y ait pas eu de morts jusqu’ici.
Les antifas ne vivent que pour la violence contre les nationalistes ou supposés tels.
Faut-il s’étonner qu’à ce jeu ils puissent se retrouver perdants, de temps en temps, et accidentellement !?
On regrettera que ce jeune homme se soit engagé au service d’une cause qui relève de la farce idiote mais s’appuie sur une violence haineuse, et que ses parents l’y aient probablement autorisé.
Sans surprise, les vautours de gauche et d’extrême-gauche instrumentalisent cyniquement cette issue tragique pour exiger la dissolution des groupements nationaux.
Le milliardaire socialiste et pervers Pierre Bergé – naturellement défenseur de la gauche prétendue anticapitaliste – se déchaîne en imprécations, tachant de faire croire que ce décès est dû au climat créé « par les Manifs pour tous ». Le même Bergé qui souhaitait qu’une bombe explose pendant ces manifestations familiales…
En revanche, quand Romain et Damien Vandaele, 2 jeunes patriotes, sont tués il y a quelques semaines dans le nord par un Turc (les percutant volontairement avec sa voiture par « réflexe communautaire »), l’émoi est inexistant dans les gros merdias…
Aujourd’hui nos pensées émues iront à François Noguier, délaissé par les faiseurs d’opinion : ce jeune étudiant français est mort mardi après avoir été frappé par un individu de « type nord-africain », pour « un motif futile ». Comme des centaines d’autres.
L’altercation aurait débuté dans les étages d’un immeuble où se tenait la vente privée Fred Perry. Le groupe de Méric et celui des skins se seraient croisés. Après un échange d’insultes et de menaces, trois skins accompagnés d’une fille seraient allés alerter un agent de sécurité lui confiant que des jeunes se présentant comme « antifas » (antifascistes, ndlr) les attendaient pour régler leur compte. L’agent de sécurité serait alors sorti pour parlementer. Puis serait remonté dans le magasin avant de dire aux jeunes au crâne rasé que la voie était libre.
Selon Serge Ayoub :
Sur le lieu de la vente privée, « ils ont été pris à partie par cinq militants d’extrême gauche qui leur ont promis de les massacrer à la sortie. Le service d’ordre de la vente privée en a été témoin. Il a proposé à ces trois jeunes plus la gamine d’attendre », affirme-t-il. « La sécurité est descendue pour demander aux jeunes d’extrême gauche de s’en aller. Au bout d’une demi-heure d’attente, la sécurité leur a proposé (aux autres jeunes, NDLR) de descendre en disant que cela s’était calmé », poursuit Serge Ayoub. »Quand ils sont descendus dans la cour – la vente se situait dans les étages -, les jeunes d’extrême gauche les attendaient. La sécurité est sortie une deuxième fois pour les accompagner dehors ».
« Un peu plus loin dehors, ces cinq jeunes hommes les attendaient encore. A ce moment-là, les jeunes d’extrême gauche ont porté les premiers coups, en tout cas il y a eu une bousculade »
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Le témoignage est sans appel et les faits facilement vérifiables auprès du service de sécurité. Les jeunes patriotes ne cherchaient pas la bagarre et Méric était sur zone pour en découdre. Il se croyait plus malin et plus fort. Il a finalement pris un mauvais coup. Lorsque l’on cherche délibérément l’affrontement il ne faut pas s’étonner d’un retour de bâton. Désormais les jeunes qui n’ont fait que se défendre vont probablement atterrir en prison parce qu’ils sont patriotes et qu’ils ne se laissent pas tabasser par quelques nervis.
L’auteur présumé de l’agression contre un militaire à La Défense arrêté. Un homme de 22 ans a été interpellé ce matin à La Verrière dans les Yvelines dans l’enquête sur l’agression au cutter d’un militaire samedi à la Défense, a annoncé le ministère de l’Intérieur. […] Des sources proches de l’enquête précisent que l’homme pourrait être partisan d’un « islam traditionaliste voire radical, depuis trois ou quatre ans ». Lire la suite….
Le braqueur en cavale Redoine Faïd arrêté en Seine-et-Marne. Le braqueur en cavale, Redoine Faïd, évadé le 13 avril de la maison d’arrêt de Séquedin (Nord), a été interpellé dans la nuit, en Seine-et-Marne, annonce le ministère de l’Intérieur. L’homme, âgé de 40 ans, a été arrêté à 3 heures dans un hôtel de Pontault-Combault, où il résidait depuis quelques jours en compagnie d’un complice de cavale, précise le communiqué du ministère. Lire la suite…
Hier, mercredi 17 avril, en Seine Saint-Denis, trois journalistes ont été attaqués par ceux que la presse appelle avec pudeur des « jeunes ». Ce sont en fait deux agressions distinctes, en deux points différents de la Seine-Saint Denis, qui se sont déroulées durant la même journée.
La première agression a eu lieu peu avant midi, à Sevran. Un journaliste de la chaîne d’information en continu BFM TV tournait un reportage devant l’école primaire Emile Zola où des enfants s’étaient piqués en jouant avec une seringue la veille : « il a été molesté par un groupe de cinq jeunes« , « a été blessé au visage« , et « sa caméra a été jetée à terre » a précisé la préfecture du département. Le journaliste a été conduit à l’hôpital.
Quant à la deuxième agression, elle eu lieu vers 17 heures, à Pierrefitte-sur-Seine. Ce sont cette fois deux journalistes de M6 qui ont été pris à partie alors qu’ils tournaient un reportage. Ils interviewaient le gérant d’un magasin d’alimentation de la ville, situé proche d’une cité sensible et victime de plusieurs braquages ces derniers mois. L’un des journalistes a reçu des coups sur le visage et souffre d’un hématome à l’oeil gauche.
Deux possibilités : ou bien la violence des banlieues se banalise, et la capacité d’indignation de la population s’estompe avec le temps qui passe. Ou bien s’opère une prise de conscience au sein de la population, et celle-ci prendra les moyens de reconquérir les territoires perdus de la nation. Ou bien on subit et on meurt, on bien on réagit.
Il reste que la deuxième solution suppose que les causes de la violence dans les banlieues ne soient plus ignorées ni occultées. Quand des territoires entiers sont dépourvus d’autochtones et que des bandes ethniques issues de l’immigration y règnent en maître, on ne nous fera pas croire que l’immigration de peuplement et de substitution est un mythe. Et on ne nous fera pas croire qu’elle n’est pas génératrice de violence. Et ce n’est pas en voilant la réalité par des éléments de langage -du type « des jeunes » pour désigner les immigrés- que la réalité elle-même cessera d’exister…
Jeudi soir, à Maubeuge, dans le Hainaut, cinq individus se sont introduits dans le domicile d’une dame d’une cinquantaine d’années, et l’ont violemment agressée en la frappant à coups de crosse, la blessant au niveau de la tête. Il sont finalement repartis après avoir fouillé la maison, prenant la fuite avec le véhicule du propriétaire, et emportant avec eux ses papiers d’identité.
L’agression était manifestement ciblée et préméditée puisque les cinq agresseurs s’étaient auparavant rendus par erreur chez les voisins, quelques instants juste avant l’agression : le nom du voisin ne correspondant pas à leur recherche, ils sont ressortis, non sans prendre le temps de lui délivrer une décharge électrique avec un pistolet Taser.
Voilà l’état de la France en 2013. Rongée par une insécurité grandissante, notre pays semble sombrer parfois dans la barbarie. Il fut un temps où même les criminels avaient un code d’honneur et ne s’en prenaient pas aux femmes et aux enfants. Mais là, ils s’y prennent à cinq pour frapper une dame à coup de crosse au visage ! Mais où vit-on ? Il est vrai que le laxisme en matière de justice est devenu une institution dont se vante quasiment le garde des sceaux. Il reste que dans une société où le crime demeure impuni, ou en tout cas en deça de ce qu’il vaut, il trouve un terreau favorable pour proliférer…
MAJ 29/11, 19h20 : mauvaise nouvelle. Les gardés à vue passent la nuit au commissariat et seront déférés demain au parquet. C’est suite à cette convocation que l’on saura s’ils sont relâchés ou écroués (prison préventive dans l’attente du procès). « La République gouverne mal, mais elle sedéfend bien ». Prions bien pour eux. Pensez à les soutenir : ici.
MAJ 29/11, 9h30 : une cinquième personne a été mise en garde à vue ce matin (sa femme vient de nous le confirmer). De plus, la lesbienne extrémiste Caroline Fourest annonce s’être rendu au commissariat du SIT (Service d’Investigation Transversale) hier pour reconnaître les gardés à vue.
MAJ 29/11, 9h00: ce ne sont pas 2 personnes en garde à vue mais 4.
Article du 28/11. Selon nos informations, au moins un participant de la manifestation du 18 novembre contre le « mariage » homosexuel a été interpellée ce matin à son domicile. Probablement accusé d’avoir repoussé énergiquement les agresseurs (Femen), il serait toujours en garde à vue. De plus, un manifestant catholique est convoqué ce soir par la police. Nous vous tiendrons informés des suites de l’affaire.
A notre connaissance, aucune militante « Femen » n’a été interpellée pour avoir agressé physiquement et verbalement les participants à la manifestation, y compris les enfants.
[Mise-à-jour 30 juin :
Deux militants du Bloc identitaire ont été mis en examen pour « participation à un groupement en vue de commettre des violences ou des dégradations », a indiqué le procureur de la République de Toulouse Michel Valet. Ils ont tous deux été mis en examen « pour violences en réunion ». Celui qui est soupçonné d’avoir porté les coups à l’étudiant chilien, a été placé en détention provisoire.]
Le GIPN (!) et les policiers de la sûreté départementale de Toulouse ont mené une série de perquisitions et d’arrestations hier mercredi dans la ville et ses environs, et notamment au local du Bloc identitaire.
14 personnes de cette mouvance ont été interpellées et certaines sont encore gardées à vue.
La police les soupçonne d’être mêlées à ce qui est présenté faussement comme l’agression délibérée et gratuite, dans la nuit du 31 mars dernier, d’un « étudiant chilien » de 36 ans (!), souffrant suite à cela de lourdes séquelles (hémiplégie).
Le journaliste de la radio publique russe Maïak, Sergueï Aslanian, avait déclaré à l’antenne le 14 mai dernier que Mahomet n’était « pas un personnage religieux mais un homme d’affaires ».
Ajoutant, qu’il avait « réécrit la Bible comme il pouvait » et avait « des problèmes sexuels ».
Ces déclarations ont suscité de vives réactions. Dans une vidéo mise en ligne sur internet, un imam du Tatarstan (république russe à majorité musulmane) avait annoncé porter plainte et déclaré que les personnes responsables de telles « insultes » à la religion musulmane devaient être « punies ». C’est chose faite. Hier soir un inconnu a frappé le journaliste à la tête avec un objet lourd et lui a porté plusieurs coups de couteau à la poitrine, au cou et à la main. Sergueï Aslanian a été hospitalisé dans un établissement de la capitale russe. Selon les médecins, ses jours ne sont pas en danger.
Marie-Neige Sardin est libraire dans la commune du Bourget (93), depuis 1978. « Fille du quartier », elle assiste, impuissante, à une montée de l’insécurité et de la violence depuis une dizaine d’années. Victime elle-même d’agressions répétées dans sa boutique, de par son caractère fort et trempé, elle décide ne pas se laisser faire et de riposter. Progressivement c’est l’escalade de la violence jusqu’à son viol en 2004 par des voyous qu’elle connaît…
Son livre Celle qui a dit non (158 p., éditions de l’Œuvre), est sorti récemment. Elle y raconte son calvaire, sa résistance, son combat.
Pour commander l’ouvrage, c’est ici.
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