Alors que les media ne cessent de nous rabattre les oreilles sur une soi-disant violence attribuée à l’ultra-droite, violence jamais étayée par des faits concrets car inexistante, il n’en va pas de même de l’ultragauche, notamment de la mouvance dite anti-fa : Ses militants s’en prennent très régulièrement aux lieux de réunion qui ne leur plaisent pas, parfois à la police, voire à certaines administrations pour des raisons qui nous échappent (pénitenciaire, voire EDF). La plupart du temps, les media restent muets sur ces exactions.
Cette fois-ci, dans un squat anti-fa à Bagnolet, la police a trouvé plusieurs dizaines d’objets incendiaires prêts à l’emploi ! C’est néanmoins dans un silence assourdissant que cette découverte fut faite ! Si ça avait été l’ultra droite qui était à l’origine d’un tel arsenal, ne doutons pas que toutes les vierges effarouchées auraient crié au retour des heures les plus sombres de notre histoire. Les Mélenchon et consorts auraient dit qu’ils ont peur, il y aurait peut-être eu un déplacement de Castaner disant que cette façon de faire de la politique est inacceptable ! Mais là, rien ! A part un filet dans le Point (qui nous sert de source), aucune info n’a été donnée !
Pendant combien de temps cette complaisance, pour ne pas parler de complicité, des autorités et des media avec les violents de l’ultra gauche va-t-elle encore durer ?
Le profanateur du cimetière juif de Sarre-Union s’appelle Pierre, mais pas de bol pour tous ceux qui voyait déjà l’extrême-droite cachée derrière cette profanation surmédiatisée, il est… antifa !
C’est Le Monde qui nous l’apprend dans son édition du jour :
» (…) A Sarre-Union, 3 000 habitants, tout le monde se connaît. Et personne ne comprend. Gaëtan Wilsius, élève de 1re L au lycée Georges Imbert, a organisé dans la ville une marche silencieuse « de solidarité et d’indignation » qui a rassemblé dans la ville des centaines de lycéens, mardi. Sur les cinq suspects, il en connaît quatre. Ils étaient tous ensemble au collège Pierre-Claude de Sarre-Union, deux d’entre eux sont comme lui au lycée situé juste à côté. Il a beau chercher des signes distinctifs, il n’en trouve pas. Sauf peut-être qu’ils étaient « fans de metal », et « se tenaient un peu à part à cause de ce centre d’intérêt ».
Pierre, précise Gaëtan, « c’était la personne juste un tout petit peu bizarre parmi des gens normaux. Mais rien de méchant. »
dans la video visible ci-dessous, on aperçoit (à 1’10) Clément Méric (l’affaire ici) en rouge avec sa bande d’« antifas » venir s’en prendre à une pacifique « Manif pour tous » en avril. Un peu plus tôt il franchissait la ligne du service d’ordre pour aller sur des manifestants. A 15’34, l’« étudiant modèle » fait partie du groupe pénétrant dans un bâtiment pour agresser des manifestants.
Ce jour-là, les belliqueux gauchistes se sont adonnés à des provocations mais il y eut aussi des échauffourées qu’on ne voit pas sur la video.
Clément a eu tort de se laisser entraîner par des débiles haineux.
Résultat : ce jeune bourgeois étudiant à Science-Po a trouvé la mort accidentellement en s’en prenant à des prolétaires patriotes, qui se sont logiquement défendus, de façon proportionnée…
Dans la video ci-dessous, on voit la manifestation spontanée des camarades de Clément Méric, « jeune étudiant pacifique », « élève modèle tué pour ses idées ».
Que pense le sourcilleux Valls de leurs slogans ?
« Flics, fascistes, assassins ! »
« Un flic, une balle, justice sociale ! »
« A bas l’Etat, les flics et les fachos ! »
« Mort aux fachos ! » (attention, dans leur cas il ne s’agit pas d’ « appels à la violence »…)
A 3’25, la racaille antifa essaie de s’en prendre à l’église Saint Nicolas du Chardonnet, mais est bloquée par des CRS.
Hier à Paris, près de Saint Lazare, une rixe a opposé quelques jeunes nationalistes (dont une femme, pas encore identifiés) à plusieurs militants d’extrême-gauche (se faisant appeler « antifas ») qui semble-t-il les ont provoqué et menacé, les attendaient, et qui ont porté les premiers coups.
Cela s’est produit à l’issue d’une vente privée de vêtements Fred Perry, où l’année dernière des militants d’extrême-gauche avaient déjà guetté et attaqué des patriotes, en blessant un à la tête.
Après avoir reçu un coup, un jeune « antifa » est tombé et sa tête a alors heurté un plot en métal. Ce choc accidentel a été fatal à Clément Méric, 19 ans (qui n’était pas un pacifiste comme le disent mensongèrement les médias : voir ici).
Aussitôt, c’est l’emballement médiatique contre « l’extrême-droite » : on présente cela comme une « agression », presque un meurtre avec préméditation !
La vérité est que depuis quelques années, des dizaines d’activistes d’extrême-gauche, notamment à Paris, ont pour seule préoccupation d’attaquer des militants de droite nationale ou radicale : lors de rassemblements ou lorsque ces derniers sont isolés. Même les femmes n’y échappent pas, ni les commerces d’ailleurs.
Lors de la plupart de ses attaques, qui s’accompagnent pour les gauchistes d’une étonnante impunité policière, les agresseurs utilisent des armes et n’attaquent que s’ils sont en surnombre.
C’est miracle qu’il n’y ait pas eu de morts jusqu’ici.
Les antifas ne vivent que pour la violence contre les nationalistes ou supposés tels.
Faut-il s’étonner qu’à ce jeu ils puissent se retrouver perdants, de temps en temps, et accidentellement !?
On regrettera que ce jeune homme se soit engagé au service d’une cause qui relève de la farce idiote mais s’appuie sur une violence haineuse, et que ses parents l’y aient probablement autorisé.
Sans surprise, les vautours de gauche et d’extrême-gauche instrumentalisent cyniquement cette issue tragique pour exiger la dissolution des groupements nationaux.
Le milliardaire socialiste et pervers Pierre Bergé – naturellement défenseur de la gauche prétendue anticapitaliste – se déchaîne en imprécations, tachant de faire croire que ce décès est dû au climat créé « par les Manifs pour tous ». Le même Bergé qui souhaitait qu’une bombe explose pendant ces manifestations familiales…
En revanche, quand Romain et Damien Vandaele, 2 jeunes patriotes, sont tués il y a quelques semaines dans le nord par un Turc (les percutant volontairement avec sa voiture par « réflexe communautaire »), l’émoi est inexistant dans les gros merdias…
Aujourd’hui nos pensées émues iront à François Noguier, délaissé par les faiseurs d’opinion : ce jeune étudiant français est mort mardi après avoir été frappé par un individu de « type nord-africain », pour « un motif futile ». Comme des centaines d’autres.
Le site antifasciste « Réflexes » s’est donné pour mission, depuis des années, de dénoncer (et souvent calomnier) tous les acteurs de ce qu’il qualifie « l’extrême-droite ».
Il mêle infos authentiques (parfois issues directement de la police ou de certains services de l’Etat), supputations de cyber-militants, grossières erreurs, calomnies ou manipulations volontaires.
Les rédacteurs et informateurs changent parfois, au fil des ans.
Mais celui qui sévit depuis quelques temps a été identifié : il s’agit de Denis Schérer, journaliste qui publie sous le pseudonyme de René Monzat (petite biographie ici).
En 2003, le politologue et historien des idées Pierre-André Taguieff n’avait pas hésité à le qualifier de « délateur professionnel », estimant même qu’il se prévalait abusivement du titre de « chercheur ».
[Addendum 12/06/11 : Marc George, ex numéro 2 de l’association d’Alain Soral et proche de Dieudonné annonce lui aussi s’être converti à l’islam]
L’écrivain à vocation historique Paul-Eric Blanrue, militant proche de la mouvance Dieudonné-Soral, initiateur d’une pétition de soutien à Vincent Reynouard, était encore généralement connu pour sa lutte, il y a quelques années, contre les « superstitions » et « arnaques », dans lesquelles il incluait le christianisme (« Jésus n’a pas existé ; […] il n’est qu’un mythe au même titre que Mithra ou Apollon »)…
L’ancien athée antichrétien a rendu publique (dans un entretien à un site algérien) sa conversion à l’islam, qui remonterait à 2009.
Mais il se serait plus précisément converti au soufisme : une tendance ésotérique et gnostique musulmane !
Elle a d’ailleurs « l’avantage » d’être encore moins contraignante que la version commune, en matière de commandements et d’interdictions.
« Ma shahada a été accomplie en décembre 2009, en présence du maître soufi Ammanoullah, de Khalid Wiss et d’un ami commun universitaire. »