Selon le témoignage d’une personne qui a participé au congrès sur le chant grégorien le week-end dernier à Paris, le vendredi soir du 1er avril, un repas était organisé avenue de Breteuil, dans la luxueuse Maison de la Conférence des évêques de France. Au menu, il y avait une tranche de rosbif (ce n’est pas un poisson d’avril).
Détail qui montre bien que la fréquentation de cette maison peut être une occasion de péché, l’abstinence de viande les vendredis de carême étant toujours inscrite parmi les commandements de l’Eglise. La conférence des évêques de France montre en ce lieu symbolique ce qu’elle est en elle-même : elle se soucie fort peu de l’obéissance à la Loi de Dieu.