Quand l’Europe sauve ses banques, qui paye ?

50 milliards d’euros en Grèce, 70 milliards en Irlande, 40 milliards en Espagne : au sein de la zone euro, les États se sont vus contraint les uns après les autres – moyennant des sommes astronomiques – de venir en aide aux banques pour compenser les pertes subies suite à des prêts pourris. Mais qui sont les bénéficiaires de telles opérations ?

C’est en posant cette question très simple qu’Harald Schumann, essayiste en économie et brillant journaliste, sillonne l’Europe. Et obtient des réponses pour le moins sidérantes. Car ceux qui ont été « sauvés » ne se trouvent pas – comme on tend à vouloir nous le faire croire – dans les pays en détresse, mais surtout en Allemagne et en France. En effet, une part importante des sommes débloquées finit dans les caisses des créanciers de ces banques sauvées. Quant aux financiers qui ont fait de mauvais investissements, ils se retrouvent protégés contre toute perte aux frais de la collectivité. Et ce contrairement aux règles de l’économie de marché. Pourquoi ? Qui encaisse l’argent ?

Violents affrontements entre la police et les mineurs espagnols

Aux sources de la colère des mineurs, il y a la décision du gouvernement de réduire drastiquement les aides au secteur de 300 millions d’euros à 100 millions seulement cette année. Selon les syndicats, 30 000 emplois directs et indirects seraient menacés.

« C’est une grande injustice, je crois qu’il est important en ce moment d’aider les travailleurs plutôt que de verser des aides aux banquiers comme ils le font. » déclare un mineur.

Le Parisien

Thomas Jefferson donne le fond de sa pensée sur les banques en 1802

« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis ».

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Selon Madoff les banques étaient au courant de l’escroquerie

«Ils ne pouvaient pas ne pas savoir». C’est ce que l’escroc américain Bernard Madoff, qui purge une peine de 150 ans de prison, a déclaré dans un entretien publié mardi par le New York Times. Selon lui, n certain nombre de banques et de fonds d’investissements étaient nécessairement au courant de sa fraude. Il affirme ainsi que cela rendait ces établissements non identifiés d’une certaine manière «complices» de la gigantesque fraude qu’il avait montée.
«Mais leur attitude était en quelque sorte de dire: « si vous faites quelque chose de mal, nous ne voulons pas le savoir »».

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Pourquoi et comment la France est asservie par les banques

Aujourd’hui en 2010 la dette de la France s’élève à 1500 milliards d’euros, ce qui nous coûte la somme colossale de 135 millions d’euros par jour !

Il est désormais clair (hormis pour une certaine extrême-droite européiste victime de sa bêtise) que pour apurer la dette de l’Etat et libérer la France du pouvoir des banquiers, il faut d’abord sortir de l’Union européenne.
Explications et informations ahurissantes ci-dessous.
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