Il y a 4 ans et demi, le ministre de l’économie, un certain Emmanuel Macron, avait décidé de privatiser l’aéroport de Toulouse en vendant l’essentiel de ses parts (49,99 % du capital). Les réticences à l’époque furent nombreuses, mais le ministre, ancien banquier, n’y voyait officiellement que des avantages : entrée d’argent dans les caisses de l’État (celui-ci encaissait 308 millions d’euros dans l’affaire), et le repreneur s’engageait à investir 850 millions d’ici fin 2046, donc pérennité du site. Evidemment, le candide Macron, lors de la vente n’avait mis aucune clause et, au contraire, avait accepté toutes celles que les Chinois exigeaient. C’est ainsi que la vente fut faite.
Mais rapidement, une fois le contrat signé, les Chinois ont montré d’autres intentions et se sont intéressés à la trésorerie que l’aéroport avait amassée avant leur venue. Ils ont exigé le versement d’un dividende exceptionnel. Heureusement, ils ne contrôlaient que 49,99 % des parts et l’État, qui est toujours propriétaire de 10,01 % du capital, ne les a pas suivis (Emmanuel Macron n’était plus ministre de l’économie), même s’ils ont obtenu de juteux dividendes malgré tout. Dépités, les Chinois veulent maintenant revendre leurs 49,99 % de parts qu’ils détiennent et seraient en négociation avec un repreneur qui s’engagerait à les reprendre pour 500 millions d’euros.
La lâcheté, la naïveté et l’incompétence d’Emmanuel Macron leur permettent de réaliser une belle plus value que la France comblera en augmentant les taxes !