Au printemps dernier, un gîte avait refusé d’accueillir le stage d’été des Gais Musette en apprenant au dernier moment qu’il s’agissait d’un club de danse sodomite (lire ici notre article).
Après moult pleurnicheries, l’association de danse homosexualiste avait décidé de porter l’affaire devant la Halde, qui vient de lui donner raison: la haute autorité a décidé de transmettre le dossier au Procureur de la république en vue de poursuites pénales pour discrimination homophobe.