Oui, si l’on en croit les contrôles vétérinaires et les contrôles effectués par les services de la répression des fraudes dans deux AMAP normandes au mois de mai.
Cherche-t-on à intimider ces petites structures de production et de vente directe qui dérangent les magnats de l’agroalimentaire ?
La question est d’autant plus naturelle que l’Etat n’est pas très regardant quand il s’agit de la qualité des produits de la grande distribution, cultivés à grand renfort de pesticides et autres substances toxiques. Une grande distribution qui, en outre, empoche de sompteux bénéfices au détriment des producteurs. A suivre.
Source : Le Pays d’Auge 14 mai, via Nexus n°69