C’était aussi un 8 septembre… 1944 : arrestation de Charles Maurras

Maurras lors de son procès. Lyon, 1945.

Ce chef et penseur nationaliste et royaliste, âgé de 76 ans, est arrêté pour « faits de collaboration » et sera condamné à la prison à perpétuité pour « intelligence avec l’ennemi », bien qu’il fut sa vie durant d’une grande hostilité à l’Allemagne.

L’arrestation est faite sur ordre d’Yves Farge, nommé par De Gaulle « Commissaire de la République » pour la région rhodanienne. Farge était un dirigeant communiste, engagé dans la « Résistance » (seulement après la rupture du pacte germano-soviétique), qui reçut le « prix Staline pour la paix » (sic).

C’était un 3 mars…

1962 : trois militants de l’OAS-Métro, résistants de l’Algérie française, tombent au combat, à Toulon, dans l’explosion accidentelle de leur voiture. Ils préparaient une action explosive symbolique, comme c’était fréquent à ce moment dans cette ville.
Jean Feigna, le jeune Michel Hendericksen et Henri Lapisardi étaient membre du commando « Claude Barrès ».

source

1962 :

Le 3 mars 1962, décédait à Ciboure (64) l’écrivain et académicien Pierre Benoît.
Il fut l’auteur d’une œuvre abondante, dont les romans d’aventures – souvent portés au cinéma -, au premier rang desquels L’Atlantide, ont connu un succès considérable dans la première moitié du XXe siècle.

Homme de droite, nationaliste, Pierre Benoit reflète un aspect du monde intellectuel de l’entre-deux-guerres, qu’il a marqué par son œuvre romanesque.

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C’était un 29 janvier… le PC des barbouzes gaullistes à Alger explose

Où l’on voit que la Ve République a toujours été barbouzarde…

Ce 29 janvier 1962, l ‘Organisation armée secrète (OAS) fait sauter le PC des barbouzes gaullistes, à El Biar (Alger).

Lorsque la « villa Andrea » explose, est détruit le lieu où de nombreux membres de l’OAS ou simples partisans de l’Algérie française ont été torturés longuement et sauvagement, et parfois assassinés (la République n’a toujours pas présenté ses excuses contrairement au cas Audin).
Lors de fouilles en 1968, une trentaine de squelettes sont retrouvés dans le jardin de la villa…
Les « barbouzes », comptant nombre de bandits, de condamnés de droit commun, ont été déployés en Algérie en mars 60 par le pouvoir gaulliste, avec pour objectif d’éliminer toute résistance à la politique d’abandon de De Gaulle, et visant surtout l’OAS dont l’activité rayonnait (notamment avec ses émissions radio pirates).

Ci-dessous un récit de la lutte engagée entre ces crapules gaullistes et les militants ou simples sympathisants patriotes (qui seront 400 à être assassinés dans cette infâme opération).
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C’était un 30 juin : le suicide du général de Larminat

Le 30 juin 1962, le général de Larminat, gaulliste indéfectible dont le président de la République félon exigeait qu’il préside un tribunal militaire chargé de juger les membres de l’OAS, se suicide la veille de la réunion de cette instance, tiraillé entre son gaullisme et son sens de l’honneur.

Ancien haut commissaire gaulliste en Afrique équatoriale française, il avait été le vainqueur de la poche de Royan en 1945.

Un mort de plus, parmi ses fidèles, sur la noire conscience de De Gaulle.

Un site consacré à cet épisode :  www.larminat-jm.com

6 juillet 1962 : l’assassinat sordide de Roger Degueldre par la République, version De Gaulle.

[Mise à jour 22h50 : comme chaque année s’est tenue une émouvante cérémonie sur la tombe du lieutenant Roger Degueldre, à l’initiative du CNC, avec Roger Holeindre. Présence de militants du Renouveau français et de son directeur]delta1

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Ci-dessous un texte de José Castano à ce sujet :

«  Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM – R.D –

C’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 qui, rappelons-le, fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, que dg prit sa décision de faire fusiller le lieutenant Roger DEGUELDRE qui, fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur! », avait justifié son action dans l’OAS par ces mots : « Mon serment, je l’ai fait sur le cercueil du Colonel Jeanpierre.
Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure !
»

Le lendemain, 6 juillet 1962, à l’aube, au fort d’Ivry, Degueldre se présenta devant le peloton d’exécution en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il avait tout sacrifié et qu’il avait choisi comme linceul.
Autour de son cou, il avait noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y avait la photo d’un bébé, son fils qu’il n’avait jamais vu. Il avait conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé était venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort.
« Dites que je suis mort pour la France ! » s’écria-t-il à l’adresse de son défenseur.
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C’était un 26 mars 1944 : l’attaque du maquis des Glières

Ce jour-là, les Allemands et la Milice française lancent une opération destinée à reprendre en main le plateau des Glières. D’après l’histoire officielle, une poignée de maquisards ont tenu tête à l’armée allemande.

« La bataille des Glières » du 26 mars 1944, haut symbole de la Résistance commémoré chaque année par Nicolas Sarkozy, ne serait-elle qu’une légende créée de toutes pièces ? Cette thèse, soutenue par de nouvelles recherches historiques, suscite la polémique en Haute-Savoie.

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50 ans après le 19 mars 1962 !

Communiqué du Renouveau français :
« Dans quelques jours sera fêté – dans un déluge de mensonges – le cinquantième anniversaire du soi-disant « cessez-le-feu » en Algérie.
Le Renouveau français organise à Paris une manifestation « non au 19 mars 1962 » :
rendez-vous le 19 mars 2012 à 19h30, place Valhubert (en face de la gare d’Austerlitz), pour une manifestation aux flambeaux.
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Le commandant Guillaume, un Français comme notre époque n’en fait plus

Personnage exceptionnel et fort regretté, le commandant Pierre Guillaume, alias le « Crabe-Tambour », a marqué ceux qui l’ont approché mais aussi ceux qui l’ont écouté fidèlement lors de son émission hebdomadaire sur Radio Courtoisie.

Né en 1925 et décédé en 2002, ce marin breton, officier à la bravoure et au panache remarquables, aventurier, fidèle militant nationaliste, chrétien convaincu, a connu une vie hors du commun, toujours guidée par l’honneur.
Son destin le mena notamment de l’Indochine en guerre au putsch d’Alger et à l’OAS puis la prison, en passant par l’Arabie et l’Afrique où il fut prisonnier d’une tribu primitive et où il revint avec Bob Denard.

La Librairie française propose actuellement les mémoires du Commandant Guillaume – Mon âme à Dieu, mon corps à la patrie, mon honneur à moi – à moitié prix. Elle dispose aussi de sa biographie, par Georges Fleury.

Survol de sa vie :
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