Ca y est, la Nouvelle-Calédonie a officiellement adopté un hymne propre, ses billets, une devise. Celle-ci est un tantinet ridicule : « terre de parole, terre de partage ».
Voici donc mis en place trois des 5 « signes identitaires » prévus par les fameux et lamentables « accords de Nouméa » signés il y a douze ans.
Restent le nom et le drapeau, plus délicats. Néanmoins, le drapeau devrait être rien moins que celui du très antifrançais « Front de libération nationale kanak et socialiste » (FLNKS), qui est de plus en plus fréquemment hissé sur les bâtiments ou utilisé sur des documents officiels, avec le soutien de l’Etat !
Depuis des années, l’UMP travaille méticuleusement et discrètement, comme la « gauche », à abandonner ce territoire aux mains de séparatistes. Ces derniers sont soutenus en sous-main par l’Australie et la Nouvelle-Zélande, qui rêvent de voir la France éliminée de cette zone du globe, qu’ils espèrent récupérer, avec ses ressources remarquables (spécialement en nickel).