Manuel Valls se targue de ne pas avoir « une seule goutte de sang français »

On sait tous que celui qui nous a servi de premier ministre pendant deux ans était « éternellement attaché à Israël » ce qui n’est pas forcément une qualité pour diriger le gouvernement français. A Rome, devant des étudiants en politique, ce triste sire vient d’en rajouter une couche puisqu’il vient de se vanter de n’avoir « pas une goutte de sang français »… (sic). On comprend mieux pourquoi la France est devenue un naufrage après son passage…

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Espagne : une universitaire « non croyante » affirme que l’Inquisition a évité de grandes horreurs

Maria Elvira Roca Barea a beau être issue d’une famille républicaine et franc-maçonne et s’affirmer non croyante, elle n’en est pas moins fortement engagée dans la dénonciation de la « Légende noire » de l’Empire d’Espagne. Cette universitaire a travaillé depuis de longues années sur toutes les accusations lancées contre l’Eglise catholique, sur son rôle en Espagne, et sur l’Inquisition. S’il y a une accusation qui lui paraît juste, c’est celle que l’on devrait faire à l’Eglise elle-même qui n’a pas pris la peine de se défendre face à des mensonges qui relèvent essentiellement de la propagande religieuse et politique.

Elle vient de publier un livre sous le titre Imperiofobia y leyenda negra, « Empirophobie et légende noire ».
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Décadence occidentale : Une église « reconvertie » en « paradis » du skate en Espagne

L’occident est en déclin accéléré. Outre le remplacement de population, toutes les valeurs et croyances qui avaient fait sa grandeur sont aujourd’hui dénigrées et remplacées. En atteste cette église située dans la municipalité de Llanera, dans laquelle rampes de skate et couleurs arc-en-ciel remplacent l’autel et les bancs. Cela a été permis grâce à une campagne de « crowdfunding » autrement dit un financement collectif fait par des volontaires…

D’autres photos (et même deux vidéos) sur le site du Figaro

Espagne : décès de Blas Pinar, figure historique du patriotisme d’après-guerre

Alberto Torresano nous écrit :

« BLAS PIÑAR  ¡¡PRESENTE !!

Blas Piñar est décédé ce 28 janvier, à son domicile, à l’âge de 95 ans.

Porteur des idéaux de la Croisade du 18 juillet 1936, il avait fondé dans cet esprit la revue Fuerza nueva, en 1966.
Patriote éminent, théologien, poète, juriste et écrivain, remarqué pour ses discours classiques et majestueux.
Depuis la mort de Franco, il a dirigé le patriotisme espagnol comme un véritable « caudillo », que des millions de personnes ont acclamé en Espagne, en Europe et en Amérique, s’abandonnant au charme de sa parole et à son clair jugement.
Notaire de profession, marié à Carmen Gutiérrez, il avait 8 enfants, fidèles continuateurs de sa lignée, 43 petits-enfants et 70 arrières petits-enfants.

Il a dirigé l’Institut culturel hispanique jusqu’à ce qu’il soit démis pour son article « Hypocrites », publié dans ABC, dénonçant les maîtres du monde et la trahison des Nord-Américains devant l’avance inexorable du communisme.

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En Espagne, l’appel à la manifestation peut désormais valoir un an de prison…

C’est à la faveur d’une réforme du code pénal, visant à criminaliser ce qui jusqu’à présent était considéré comme un délit, que la justice espagnole va désormais durcir son arsenal juridique contre les appels à la manifestation, notamment sur les réseaux sociaux. Le partage et la diffusion, par des moyens publics, d’actions qui « troublent l’ordre public » pourront désormais encourir une peine allant jusqu’à un an de prison…

L’Espagne est-elle à ce point en crise qu’un appel à la manifestation soit systématiquement perçu comme une menace contre l’état de droit et la paix civile ? Y a-t-il une situation d’urgence qui légitime cette mesure d’exception ?
Ou les Etats « démocratiques » occidentaux versent-ils de plus en plus ouvertement dans l’oppression et le flicage à mesure que la juste colère populaire monte ?

Mort de Santiago Carrillo, un bourreau communiste impuni

Les merdias français (?) rendent un hommage unanime à Santiago Carrillo, qui fut le leader historique du communisme espagnol et qui vient de rendre sa très laide âme à l’âge de 97 ans.

Ce qu’ils ne disent pas, ou rarement (et en évoquant une « polémique »), c’est que l’individu a été l’ordonnateur du massacre de masse de Paracuellos.

Dans cette banlieue de Madrid, en novembre 1936, des milliers de prisonniers politiques extraits des geôles madrilènes sont exécutés, sans même un jugement.
La « terreur rouge » bat son plein et il leur est reproché, souvent abusivement, d’avoir des sympathies pour la rébellion nationaliste.
Nombreux sont ceux qui sont ainsi assassinés simplement pour avoir fréquenté un collège catholique (ou y avoir étudié) ou pour leur appartenance à une famille de médecins ou d’avocats,  etc.

Après la Grèce et l’Italie, l’Espagne est dans la tourmente

Standard & Poor’s abaisse de deux crans la note de l’Espagne. Les 24,44% de la population active au chômage représentent plus de 5,6 millions d’espagnols. Les jeunes entre 16 et 24 ans sont les plus touchés puisque 52% d’entre eux sont chômeurs.
Depuis le mois janvier, 365 900 personnes ont perdu leur travail et le nombre de sans-emploi augmente dans tous les secteurs d’activité. Les foyers dont tous les membres sont au chômage sont eux aussi, en hausse.

Afflux d’Espagnols pour assister à la messe interdite

Dimanche, des milliers de personnes sont accourus en masse à la Vallée de « Los Caídos » en Espagne pour assister à la messe interdite par le Gouvernement. Il y a eu tant de personnes à se déplacer qu’ils ont provoqué des bouchons sur quelque 10 km et la direction du Patrimoine National s’est vu obligée de permettre l’entrée de la vallée. Les moines ont comptabilisé quelque 2000 véhicules. L’un des agents dépêchés sur les lieux a expliqué :

« Avec la pagaille qui s’est constituée, on a pris la décision d’ouvrir la Vallée car tous les accès étaient en train d’être bloqués ».

C Quelques fidèles se sont garés à dix kilomètres de la Vallée et ont continué à pied jusqu’à l’esplanade où se célébrait la messe qui a commencé avec une heure de retard, sous un temps peu clément. Vendredi dernier la direction du Patrimoine s’est réunie avec les bénédictins pour adopter une solution mais le rendez-vous s’est terminé sans qu’un accord soit conclu. Les moines n’ont pas accepté les propositions du Gouvernement et ont décidé de maintenir la messe.

Source : Le Salon Beige

Espagne : lancement d’un grand salon du tourisme homosexuel

Créateur de « Reservasgays », une centrale de réservation pour homosexuels, le businessman sodomite, Javier Checa, attend entre 15.000 et 25.000 personnes sur son «salon européen des affaires et du tourisme destinés au marché gay mondial» à Torremolinos, en Andalousie.

M. Checa compte sur le gros pouvoir d’achat des invertis, estimant à 51.000 euros par an le revenu moyen d’un homosexuel, contre 32.000 euros pour un hétérosexuel. Un gay ou une lesbienne en vacances dépenserait en moyenne 130 euros par jour, contre 80 euros pour un hétéro.
Le marché européen représenterait 55 millions de personnes. Continuer la lecture de « Espagne : lancement d’un grand salon du tourisme homosexuel »

Les déclarations délirantes du « shabbat goy » José-Maria Aznar

Dans un article hallucinant donné au Times, l’ancien premier ministre espagnol de droite, José-Maria Aznar appelle l’Europe à une défense fanatique d’Israël.
Extraits:
La colère contre Israël à propos de Gaza est une immense erreur. Nous ne devons pas oublier qu’Israël est le meilleur allié de l’Occident (…)
La colère aveugle exprimée par les pays européens leur a fait perdre toute notion de raison et de logique, qui aurait dû les faire aboutir à la conclusion suivante : Israël est un Etat légitimé par l’ONU, et dont l’existence ne peut être objet de discussion. Continuer la lecture de « Les déclarations délirantes du « shabbat goy » José-Maria Aznar »

Après l’Europe, l’Amérique du sud?

Lundi, le chef du gouvernement socialiste espagnol José Luis Rodriguez Zapatero a appelé les pays sud-américains à former une « union latino-américaine » similaire à celle de l’Union européenne.

« Je serais grandement en faveur d’une union latino-américaine, ce serait un grand projet », a expliqué Zapatero à l’occasion d’une conférence de presse dans le cadre du sommet Europe-Amérique latine-Caraïbes qui se tient à Madrid. Le chef d’État espagnol a également expliqué que l’union des pays européens avait été bénéfique pour leur économie.
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Le juge espagnol rouge Garzon en mauvaise posture. Une victoire pour…

… la Falange espagnole, organisation nationaliste qui aura d’ailleurs un stand au 3ème Congrès nationaliste et dont un représentant prendra la parole.

Le Conseil général du pouvoir judiciaire (CGPJ) espagnol a suspendu, vendredi 14 mai, le juge Baltasar Garzon de ses fonctions, conséquence de sa mise en accusation pour avoir voulu enquêter sur les « crimes » amnistiés du franquisme. Cette mesure fait suite à la décision prise mercredi par un magistrat du Tribunal suprême d’ordonner l’ouverture du procès pour « forfaiture » (abus de pouvoir) du juge Garzon, dont la date n’a pas encore été fixé.

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Une crapule idéologique sur le point d’être suspendue

Baltasar Garzon fait ses cartons. Le célèbre magistrat espagnol s’apprête à quitter son bureau, le cabinet d’instruction numéro 5, qu’il occupe depuis vingt-deux ans à l’Audience nationale, la plus haute instance pénale du pays. Ses pairs du Conseil général du pouvoir judiciaire (CGPJ), l’équivalent espagnol du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), devraient le suspendre de ses fonctions, jeudi 22 avril, dans l’attente de son procès. La procédure est automatique pour tout magistrat accusé, comme lui, de prévarication, c’est-à-dire d’avoir abusé de son pouvoir.

Le juge Garzon est poursuivi pour avoir ouvert des enquêtes partiales et idéologiques, fin 2008, sur les soi-disant crimes franquistes de la guerre civile (1936-1939) et la répression durant le régime franquiste (1939-1975) alors que les faits de cette période (pour les deux camps) sont couverts par une  loi d’amnistie des crimes politiques (dite de réconciliation nationale) votée en 1977, deux ans après la mort de Francisco Franco.

En requalifiant en crimes contre l’humanité, donc imprescriptibles, les disparitions de quelque 114 000 républicains, Baltasar Garzon a monté « un artifice juridique », selon le magistrat instructeur Luciano Varela, qui a suivi en cela les plaintes de trois associations nationalistes, dont la Phalange espagnole.

S’il est reconnu coupable , M. Garzon encourt une peine de dix à vingt ans d’interdiction d’exercer. Autant dire que ce serait la fin de la carrière du juge vedette espagnol, dont la renommée a franchi les frontières en 1998 lorsqu’il ordonna l’arrestation de l’ex-dictateur chilien Augusto Pinochet au nom de la « justice universelle ».

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