1962: trois militants de l’OAS-Métro, résistants de l’Algérie française, tombent au combat, à Toulon, dans l’explosion accidentelle de leur voiture. Ils préparaient une action explosive symbolique, comme c’était fréquent à ce moment dans cette ville.
Jean Feigna, le jeune Michel Hendericksen et Henri Lapisardi étaient membre du commando « Claude Barrès ».
Le 3 mars 1962, décédait à Ciboure (64) l’écrivain et académicien Pierre Benoît.
Il fut l’auteur d’une œuvre abondante, dont les romans d’aventures – souvent portés au cinéma -, au premier rang desquels L’Atlantide, ont connu un succès considérable dans la première moitié du XXe siècle.
Homme de droite, nationaliste, Pierre Benoit reflète un aspect du monde intellectuel de l’entre-deux-guerres, qu’il a marqué par son œuvre romanesque.
Cette date est en effet considérée comme la naissance du cinéma.
Il s’agit en fait de la première représentation publique et payante – dans le sous-sol du Grand-Café (boulevard des Capucines à Paris) – du « cinématographe », par les célèbres frères Auguste et Louis Lumière.
La mémoire de ces hommes incarnant excellemment le génie français est peu honorée par la République.
Il leur est reproché d’avoir soutenu fermement l’Etat français (pourtant légal et légitime) du maréchal Pétain.
Ils furent décorés de la Francisque.
Louis fut membre du « Conseil national » mis en place par Vichy, et Auguste fut même membre du comité de parrainage de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme.
Hier à Paris, près de Saint Lazare, une rixe a opposé quelques jeunes nationalistes (dont une femme, pas encore identifiés) à plusieurs militants d’extrême-gauche (se faisant appeler « antifas ») qui semble-t-il les ont provoqué et menacé, les attendaient, et qui ont porté les premiers coups.
Cela s’est produit à l’issue d’une vente privée de vêtements Fred Perry, où l’année dernière des militants d’extrême-gauche avaient déjà guetté et attaqué des patriotes, en blessant un à la tête.
Après avoir reçu un coup, un jeune « antifa » est tombé et sa tête a alors heurté un plot en métal. Ce choc accidentel a été fatal à Clément Méric, 19 ans (qui n’était pas un pacifiste comme le disent mensongèrement les médias : voir ici).
Aussitôt, c’est l’emballement médiatique contre « l’extrême-droite » : on présente cela comme une « agression », presque un meurtre avec préméditation !
La vérité est que depuis quelques années, des dizaines d’activistes d’extrême-gauche, notamment à Paris, ont pour seule préoccupation d’attaquer des militants de droite nationale ou radicale : lors de rassemblements ou lorsque ces derniers sont isolés. Même les femmes n’y échappent pas, ni les commerces d’ailleurs.
Lors de la plupart de ses attaques, qui s’accompagnent pour les gauchistes d’une étonnante impunité policière, les agresseurs utilisent des armes et n’attaquent que s’ils sont en surnombre.
C’est miracle qu’il n’y ait pas eu de morts jusqu’ici.
Les antifas ne vivent que pour la violence contre les nationalistes ou supposés tels.
Faut-il s’étonner qu’à ce jeu ils puissent se retrouver perdants, de temps en temps, et accidentellement !?
On regrettera que ce jeune homme se soit engagé au service d’une cause qui relève de la farce idiote mais s’appuie sur une violence haineuse, et que ses parents l’y aient probablement autorisé.
Sans surprise, les vautours de gauche et d’extrême-gauche instrumentalisent cyniquement cette issue tragique pour exiger la dissolution des groupements nationaux.
Le milliardaire socialiste et pervers Pierre Bergé – naturellement défenseur de la gauche prétendue anticapitaliste – se déchaîne en imprécations, tachant de faire croire que ce décès est dû au climat créé « par les Manifs pour tous ». Le même Bergé qui souhaitait qu’une bombe explose pendant ces manifestations familiales…
En revanche, quand Romain et Damien Vandaele, 2 jeunes patriotes, sont tués il y a quelques semaines dans le nord par un Turc (les percutant volontairement avec sa voiture par « réflexe communautaire »), l’émoi est inexistant dans les gros merdias…
Aujourd’hui nos pensées émues iront à François Noguier, délaissé par les faiseurs d’opinion : ce jeune étudiant français est mort mardi après avoir été frappé par un individu de « type nord-africain », pour « un motif futile ». Comme des centaines d’autres.
Un bon communiqué du mouvement nationaliste (qui rejoint notre analyse) :
« Le Renouveau français se réjouit du grand succès populaire de la manifestation de ce 24 mars contre le délirant projet de loi Taubira.
La forte mobilisation ne s’est pas essoufflée depuis janvier et l’immense foule, d’au moins un million de personnes, représente bien la colère de la France réelle face à une petite oligarchie, forte seulement de ses médias et de ses matraques.
Nous regrettons qu’à nouveau les discours et les mots d’ordre des organisateurs officiels aient trop souvent été des apologies des « valeurs républicaines » – qui nous ont pourtant menées là où nous en sommes- , ou aient été d’une mollesse et d’une naïveté déconcertantes face au cynisme du gouvernement.
Nous sommes choqués que la parole ait été donnée complaisamment à des pontes de la droite libérale, coresponsable depuis des dizaines d’années du pourrissement moral de notre société. Continuer la lecture de « Communiqué du Renouveau français suite à la manifestation du 24 »
Communiqué du Renouveau français :
« Il y a quelques jours, une quinzaine de militantes du RF Paris ont envahi le local de la milice extrémiste antichrétienne « Femen » (grassement subventionnée par de discrets oligarques).
Cette première action est une « déclaration de guerre » à la bêtise et à la haine qu’incarnent les Femen, sous le vocable trompeur de « féminisme ».
Les Françaises sont dans leur très grande majorité plus proches des valeurs que défendent nos militantes, que de celles d’une minorité de bobos libertaires.
Les VRAIES femmes n’ont pas dit leur dernier mot.
Non, les Fem’haine ne défendent pas les femmes, mais seulement la vulgarité et la haine du christianisme. »
Le journaliste français Yves Debay a été abattu jeudi par un tireur embusqué dans le nord de la Syrie, où il était en reportage.
Il a été tué d’une balle dans la tête, dans des conditions encore troubles, près de la prison centrale d’Alep, à la lisière nord de la métropole où de violents combats opposaient rebelles et soldats.
Ancien militaire belge, puis membre des unités d’élite de l’ex-armée rhodésienne (aujourd’hui Zimbabwe) face à la rébellion marxiste, avant d’être reporter de guerre pour la revue militaire Raids pendant 20 ans, Yves Debay avait lancé en 2008 sa propre revue, Assaut, pour laquelle il multipliait les reportages périlleux, sur tous les fronts.
Personnage attachant et haut en couleur, Yves Debay était de tendance nationale et n’hésitait pas à le faire savoir (y compris dans sa revue) ni à se montrer dans les rassemblements qui vont bien.
Voici un événement qui permet de comprendre la pression qui existe en Allemagne à l’encontre des opposants politiques :
Nadja Drygalla, une athlète de la partie orientale de l’Allemagne, a du quitter les Jeux olympiques.
La raison de ce départ est que son »petit ami » est un responsable local du parti nationaliste NPD.
Dans le passé, Nadja Drygalla a été contrainte de quitter son emploi au sein de la police pour la même raison. (source)
Comme pour la compétitrice grecque elle aussi virée pour des motifs absurdes, les responsables olympiques osent invoquer des « valeurs », alors que leur raout mondial est une apologie du dopage, de l’argent-roi, de la publicité, du mercenariat…
Il faudra bientôt aux mondialistes effacer toutes les références à Pierre de Coubertin, qui a créé les Jeux olympiques modernes il y a un siècle, car ce dernier professait des opinions aujourd’hui interdites.
S’affirmant « colonialiste fanatique », il expliquait que « les races sont de valeur différente et à la race blanche, d’essence supérieure, toutes les autres doivent faire allégeance ».
A propos des femmes et des jeux olympiques, il constatait que « les olympiades femelles sont inintéressantes, inesthétiques et incorrectes. Aux Jeux olympiques, leur rôle devrait être surtout, comme aux anciens tournois, de couronner les vainqueurs. »
Sans parler de l’appréciation élogieuse qu’il fit des JO de Berlin en 1936, organisés par le IIIe Reich.
La spécialiste du triple saut grecque Voula Papachristou a été exclue mercredi de sa sélection olympique nationale.
L’athlète, qui était encore à Athènes, a été sanctionnée suite à un « tweet » blagueur pas méchant, présenté comme « raciste » à l’encontre des envahisseurs africains, posté sur son compte twitter («Tellement d’Africains en Grèce… Au moins les moustiques du Nil occidental mangent de la nourriture locale !»).
Les excuses présentées par celle qui avait aussi et surtout apporté un vague soutien au parti nationaliste Aube dorée (en souhaitant bonne fête au député Ilias Kasidiaris, porte-parole du parti) n’ont rien changé.
Le comité olympique grec, bien sûr soutenu par le CIO, a expliqué qu’elle «s’était placée hors de l’équipe olympique avec ces commentaires contraires aux valeurs et aux idées du mouvement olympique [lesquelles précisément ? NDLR]. Elle a manqué de respect à une valeur olympique de base [sic]. Elle a commis une erreur et dans la vie on paie pour ses erreurs.»
[Mise-à-jour 30 juin :
Deux militants du Bloc identitaire ont été mis en examen pour « participation à un groupement en vue de commettre des violences ou des dégradations », a indiqué le procureur de la République de Toulouse Michel Valet. Ils ont tous deux été mis en examen « pour violences en réunion ». Celui qui est soupçonné d’avoir porté les coups à l’étudiant chilien, a été placé en détention provisoire.]
Le GIPN (!) et les policiers de la sûreté départementale de Toulouse ont mené une série de perquisitions et d’arrestations hier mercredi dans la ville et ses environs, et notamment au local du Bloc identitaire.
14 personnes de cette mouvance ont été interpellées et certaines sont encore gardées à vue.
La police les soupçonne d’être mêlées à ce qui est présenté faussement comme l’agression délibérée et gratuite, dans la nuit du 31 mars dernier, d’un « étudiant chilien » de 36 ans (!), souffrant suite à cela de lourdes séquelles (hémiplégie).
Il y a un mois environ, les nationalistes radicaux grecs du mouvement Aube dorée avaient surpris tout le monde et déclenché un séisme politique en atteignant les 7 % aux élections législatives, enterrant au passage le parti patriotique LAOS.
Depuis, le mouvement a bien sûr été victime d’une intense campagne de propagande médiatique : vieux dossiers sortis des placards, insinuations en tout genre, incidents montés en épingle (porte-parole du mouvement ripostant énergiquement à deux députés communistes à la télévision, président expliquant que la Shoah est une foutaise, journalistes obligés de se mettre au garde-à-vous devant lui), etc.
Aucune coalition de gouvernement ne sortant du parlement, de nouvelles élections législatives ont été organisées hier. Tous les journaleux et sondeurs expliquaient que le parti nationaliste allait s’effondrer, les électeurs s’étant suffisamment défoulés la première fois, ou s’étant fait berner mais ayant depuis découvert l’horrible vérité sur l’Aube dorée…
Que nenni : hier le mouvement nationaliste a réitéré son score de 7% (contre 0,3 % en 2009 !), obtenant 18 députés.
Une stratégie de radicalité, de fermeté, de force et d’action sociale qui porte ses fruits.
Le LAOS qui s’était effondré à 2,9 % en mai, chute encore à 1,58%. Continuer la lecture de « Grèce : nouvelle victoire des nationalistes radicaux »
Contre-info diffusera désormais davantage d’entretiens avec des responsables et personnalités.
Aujourd’hui, nous interrogeons le secrétaire général du Parti de la France, principale structure de l’« Union de la Droite nationale », dont on peut consulter les résultats détaillés lors du scrutin de dimanche dernier ici. Les commentaires sont ouverts.
Contre-info : Comment analysez-vous le score décevant des candidats de l’« Union de la droite nationale » (Parti de la France, MNR, Nouvelle droite populaire) ?
Thomas Joly : Ne nous voilons pas la face, nos résultats sont effectivement très décevants.
Nous ne parvenons pas à remplir notre objectif minimal qui était d’obtenir au moins 1% dans 50 circonscriptions pour accéder à une petite subvention publique annuelle qui nous aurait facilité la tâche pour nos dépenses matérielles et militantes afin de mener notre action politique.
Les raisons sont multiples : l’abstention massive qui a favorisé les partis du Système et exposés médiatiquement, l’apathie de nos compatriotes face à la colonisation migratoire et la ruine de notre pays, l’illusion de voter « utile » en préférant le candidat du Front mariniste (quel qu’il soit) à celui du Parti de la France, la proximité des élections législatives avec les Présidentielles qui démobilise complètement l’électorat protestataire,…
Même si nous ne sommes pas parvenus à émerger électoralement lors de ces législatives, comme d’ailleurs tous les « petits » partis qui ont été laminés et dont la plupart ont fait des scores inférieurs aux nôtres, nous avions le devoir de tenter le coup. Personne d’autre ne portait nos idées.
Seuls les candidats de l’Union de la Droite Nationale défendaient clairement un projet de droite nationale, européenne, identitaire et fermement opposé à la colonisation migratoire de la France (d’où notre slogan « La France aux Français »).
On nous signale qu’un compte rendu du 1er « Banquet patriotique », organisé par le Renouveau français et que nous avions annoncé ici, est disponible là.
L’une des grosses surprises des élections législatives anticipées grecques, qui ont eu lieu ce dimanche, est le score des nationalistes radicaux de Chryssi Avghi (l’Aube dorée).
Le parti a obtenu 21 députés sur 300 au parlement grec, avec 7% des voix, selon le décompte du ministère de l’Intérieur.
Lors des dernières élections législatives (2009), le mouvement avait obtenu 0,3 % des voix ; pour la première fois, cette organisation – de taille modeste jusqu’ici – fait son entrée au parlement : un séisme politique qui fait la une de tous les journaux helléniques.
“Nous arrivons” a proclamé son chef, Nikos Mihaloliakos. « Les Grecs ont toujours été nationalistes, et maintenant ils ont la chance d’exprimer leurs positions ». “Personne n’a peur de moi s’il est un bon citoyen grec” a-t il poursuivi, promettant de lutter contre les “usuriers mondiaux” et “l’esclavage” imposé au pays par l’UE et le FMI.
L’Aube dorée a fait une campagne sans concession et fructueuse sur les thèmes anticapitaliste et anti-immigrationniste, organisant des patrouilles pour sécuriser Athènes.
Il est à noter que le « gros parti » patriote, le LAOS (un peu l’équivalent du FN là-bas) s’effondre à 2,9 % des voix, largement devancé par ce qu’il considérait lui-même comme un groupuscule extrémiste. Il est éliminé du parlement. Continuer la lecture de « Entrée fracassante des fafs au parlement grec »
« François Brigneau, de son vrai nom Emmanuel Allot, est né le 30 avril 1919 à Concarneau. Il est décédé dimanche près de Paris.
C’est sous les pseudonymes de Julien Guernec et surtout François Brigneau qu’il participa, toute sa vie durant, au combat nationaliste. Né dans une famille plutôt de gauche et anticléricale, la rumeur disait qu’il fut baptisé clandestinement contre la volonté de son père. Il n’hésita pas, en juin 1944 à s’engager pour défendre l’Etat français. Continuer la lecture de « François Brigneau est décédé. »
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