Eric Zemmour ne sera pas viré du Figaro

Le Figaro a annulé la convocation d’Eric Zemmour, préalable à un licenciement, à la suite, comme par hasard du retrait de la plainte de la Licra.
On peut ici toucher du doigt l’extraordinaire pouvoir de ce lobby sioniste et cosmopolite. Il peut faire et défaire la carrière de n’importe quel journaliste, quel que soit son « poids médiatique ». Il est de bon ton d’affirmer que les médias ne résonnent qu’en terme d’audience et donc de retombées publicitaires. Preuve est faite qu’un certain lobby est bien au-dessus de cela…
Quel que soit son talent, Zemmour a dû s’excuser auprès de la Licra pour conserver son boulot.
Par ailleurs, il ne fait aucun doute que ses excuses aient été acceptées par le seul fait de son appartenance à la communauté juive.

Enfin, il est à noter que le courageux Zemmour a finalement renoncé au débat qui devait le confronter au président de la Licra, l’odieux Jakubowicz.
Sans doute, avait-il trop à perdre d’un tel face à face. Soit il ridiculisait Jakubowicz pour soigner son image vis-à-vis de ses fans mais se retrouvait de nouveau avec une plainte, un licenciement et une meute médiatique aux fesses. Soit il se laissait dominer et perdait ainsi la confiance des ses fans et donc de son fonds de commerce… Zemmour a choisi la fuite.

Avis à tous ceux qui voyaient en lui le nouveau « Duce » de la mouvance nationale.

Source

Zemmour, grain de sable dans les rouages de la machine capitaliste.

D’après nos confrères du Salon Beige, Éric Zemmour serait convoqué à un entretien préalable à son licenciement du Figaro, car il « gênerait les annonceurs ». Cette volonté viendrait d’Étienne Mougeotte, directeur du journal. Celui-ci est un ami notoire de Sarközy, qui vient de perdre les élections régionales. On est en droit de penser que ce limogeage vient de plus haut que la direction du Figaro, et n’a été reportée que dans le but de préserver l’électorat de droite conservatrice, le temps qu’il urne tranquillement.

Rappelons que cette convocation n’est pas nécessairement synonyme d’une volonté de transiger de la part de la direction du quotidien, mais une étape obligatoire dans toute procédure de licenciement ; l’entretien, d’après les dispositions légales, se tiendra au plus tôt lundi 29 mars ; le licenciement à proprement parler pourra quant à lui être prononcé dés le mercredi 31 mars.

A défaut de partager l’intégralité des vues qu’il expose, nous reconnaissons au chroniqueur et grand reporter, outre une bonne plume, une certaine clairvoyance politique et liberté de ton qui dénote avec le marasme du politiquement correct.

 Si vous souhaitez faire connaître votre désapprobation quant à la décision envisagée, nous vous invitons à écrire à Etienne Mougeotte (emougeotte@lefigaro.fr) et Jean-Michel Salvator (jmsalvator@lefigaro.fr).