S’il reconnaît que « Immersion Piss Christ » peut choquer, Frédéric Mitterrand a condamné sans équivoque, hier soir, cette agression dans les locaux d’un musée : « Je suis choqué qu’on puisse rentrer dans un musée, faire violence aux gardiens qui s’y trouvent et détruire une oeuvre. C’est inadmissible. Quand on est choqué par une oeuvre, il faut s’adresser à la justice : c’est un principe fondamental de la République. Tout acte de violence, de destruction, d’intolérance est inacceptable. »
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Eric Naulleau dénonce les lobbies juif et noir
Propagande : Une journée « Culture, médias et diversité »
Le ministre de la Culture et de la Communication Frédéric Mitterrand souhaite instituer « une journée de travail annuelle sur le thème +Culture, médias et diversité+ », a-t-il annoncé jeudi soir à Paris à l’occasion de la remise du rapport 2010 sur la diversité du club Averroès.
Cette journée réunirait chaque année des institutions – Halde, Conseil supérieur de l’audioviosuel (CSA), chaînes TV, radios et opérateurs culturels – et associations comme le club Avorroès « afin d’éviter le dispersion des initiatives dans le domaine de la diversité et de rendre l’action publique plus efficace », a précisé le ministre.
Le rapport du club Averroès, défenseur de la diversité dans les médias, qui avait déjà été rendu public le 18 janvier, relève notamment que malgré quelques efforts louables, les médias peinent toujours à refléter la diversité de la société française.
La mémoire aux mains des lobbies
Il aura fallu 48 heures au ministre franco-tunisien pédéraste Frédéric Mitterrand pour exécuter les ordres de Serge Klarsfeld, éminent lobbyiste juif.
Ce dernier avait en effet exprimé son mécontentement en apprenant que le 50ème anniversaire de la mort de Louis-Ferdinand Céline devait être commémoré officiellement en 2011, parmi 500 autres personnalités sur la liste des « célébrations nationales » du ministère de la Culture (sic).
Ainsi, l’un des plus grands écrivains français de tous les temps se retrouve banni du patrimoine officiel français, au profit d’une multitude de farceurs de plus ou moins bon goût, sur ordre d’un « dictateur de la mémoire », Serge Klarsfeld (président de l’association des Fils et Filles de déportés juifs de France).
Mitterrand et Amara hués
Frédéric Mitterand : « au-dessus de 14 ans, c’est dégueulasse »
Nous évoquions hier le fait que l’actuel ministre de la « Culture » aimait à l’occasion se déguiser en « drag-queen »…
L’occasion de ressortir une petite video dans laquelle il affirme que les relations sexuelles, « au-dessus de 14 ans, c’est dégueulasse ».
Tout ceci combiné aux propos scandaleux tenus dans son livre à vocation autobiographique aurait déclenché il y a encore quelques années une affaire d’Etat et il aurait dû évidemment démissionner.
On mesure donc le chemin parcouru en peu de temps, en termes de moeurs…
Triste mais sans surprise…
Carla Bruni-Sarközy est toujours bouleversée. François Baudot, son meilleur ami et même le parrain de son fils, s’est suicidé le 7 mai.
« Ce journaliste homosexuel avait été nommé fin 2009 inspecteur général de l’administration des Affaires culturelles sur intervention de Carla Bruni, ce qui avait entraînté une vive polémique.
Dans son roman autobiographique, L’art d’être pauvre, paru en 2009, chez Grasset, il racontait sa jeunesse dissolue, ses expériences homosexuelles et ses folles nuits parisiennes, entre autre au Palace, où il côtoyait alors un certain Frédéric Mitterrand, qui, à l’époque, n’hésitait pas à s’habiller en « drag-queen ». »
Source : Faits & Documents n°295.
Ministre de la culture cherche travesti moscovite
Le ministre de la culture qui a tant fait pour l’image de la France en Thaïlande a profité de sa dernière visite officielle à Moscou pour se rendre dans lieu de perdition pour sodomites (également appelé « bar gay »).
En effet, il cherchait de retrouver une vieille connaissance: un travesti rencontré sept ans auparavant…
On ignore s’il a fait mettre les services de l’ambassade à la recherche de cette personne.
Source: le monde du 10 avril , via Faits et documents
François Bon