Anne Hidalgo, à l’instar de sa famille politique, n’en finit pas de choyer une infime minorité de militants LGBT aux revendications incessantes et à la propagande destructrice, pendant que Paris se tiermondise à une vitesse effrayante.
Anne Hidalgo a décidé de « décorer » la Mairie de Paris aux couleurs LGBT pour « fêter » les « fiertés ». Comprendre la fierté des homosexuels, lesbiennes, bi, trans… qui défilent demain à Paris lors de la GayPride annuelle.
Une question se pose : fierté de quoi ? Les militants LGBT n’ont eu de cesse de répéter qu’ils ne pouvaient rien à leur sexualité pendant l’absence de débat qui a précédé le vote de la loi Taubira. Or l’on est fier de ce que l’on a accomplit.
S’ils n’y peuvent rien, il n’y a pas de quoi être fier. Personne n’est fier d’être « homme » ou « femme ».
Fierté de quoi, donc ? La vérité c’est que c’est précisément pour ces quelques militants un choix, celui de la propagande homosexualiste largement relayée par le gouvernement et ses chiens de garde.
Ils sont fiers de ce qu’ils appellent le « progrès », et qui consiste à détruire la famille, à priver des enfants de mère ou de père, à réduire toute personne à sa seule sexualité, à encourager une sexualité désorientée…
Anne Hidalgo donnait une interview à Yagg pour expliquer ce choix et rappeler « son engagement auprès de la communauté LGBT ».
Il y a quelques jours, les Parisiens apprenaient qu’Anne Hidalgo devait trouver 400 millions d’euros pour boucler son budget 2015. En attendant, leurs impôts continuent à alimenter la propagande d’Etat et satisfaire quelques capricieux qui ne représentent qu’eux-mêmes, et auprès de qui le Maire de Paris affirme avoir des « engagements ».
Anne Hidalgo voudrait créer de l’homophobie, elle ne s’y prendrait pas autrement.