Persécutions de la police de la pensée en Allemagne (et en France)

Le Portugal a donc cédé : le 19 septembre on apprenait que la justice portugaise venait de consentir (en échange de quoi ?) à extrader vers l’Allemagne Gerd Ittner, 54 ans, en fuite depuis 2005 et arrêté le 11 avril dernier au Portugal.
Il s’était enfui de son pays juste avant d’être condamné à deux ans et 9 mois de prison ferme et vivait depuis 7 ans en exil. C’est le mardi 18 qu’a eu lieu l’extradition : G. Ittner se trouve actuellement dans une prison bavaroise dans laquelle il devra purger 33 mois d’incarcération…
Son crime ? Avoir violé ? Braqué ? Escroqué des dizaines de gens ? Voire frappé quelqu’un à mort ?
Non, ce journaliste patriote a tenu des propos contredisant la version officielle et obligatoire de la 2e Guerre mondiale…

En France, Le Monde consacrait le 21 août 2012 deux pleines pages au révisionnisme.
Bien incapable d’aligner quelque argument que ce soit face aux conclusions des recherches indépendantes, le torchon officiel du Système s’est contenté d’abreuver d’injures le professeur Faurrison. Celui-ci répond dans un article cinglant et très intéressant que vous pouvez consulter ici.

La traque de certains historiens continue

On apprend, le 7 mai, sur un site allemand de la région de Nuremberg, que le révisionniste Gerd Ittner, 53 ans, vient d’être arrêté au Portugal. Gerd Ittner avait pris la fuite à l’issue d’un procès qui lui avait été intenté, en 2005, pour incitation à la haine raciale, diffamation de l’Etat ainsi qu’offense à l’égard de communautés religieuses. Il avait été condamné à deux ans et 9 mois de prison ferme et s’était enfui juste avant le prononcé du jugement. Sept ans plus tard, le 11 avril 2012, il est retrouvé et arrêté au Portugal, à Montomor-o-Novo, environ 100 km à l’est de Lisbonne.
La justice portugaise doit maintenant décider si elle consent ou non à l’extrader vers l’Allemagne qui, évidemment, le réclame.

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