La « Justice » française a choisi de relaxer ce matin les cinq violeurs d’une jeune handicapée mentale.
Le président du tribunal de grande instance pris cette décision parce que la « conscience de l’absence de consentement de la victime » n’était pas établie…
Les cinq violeurs ont pourtant prouvé leur monstruosité. A la question de savoir pourquoi l’instigateur de ces multiples agressions sexuelles avait agit, Stéphane, 37 ans, répond : « Je ne voulais pas de cette fille, donc c’est pour ça que je leur ai refilé, pour m’en débarrasser ».
Avec les quatre autres hommes, âgés de 31 à 48 ans, ils ont tenu un discours fixe : lors de deux soirées, les 25 mai et 19 juin 2013, ils sont allés à Chalais chez « pépé », un septuagénaire non poursuivi dans cette affaire, pour « boire l’apéro ».
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