Des militants de 22 pays vont appareiller de Grèce cette semaine à bord d’une dizaine de bateaux dans le cadre d’une « flottille de la liberté » transportant de l’aide humanitaire à Gaza, en dépit des menaces d’Israël et de l’opposition de l’ONU.
Israël souhaite empêcher les journaliste de faire leur travail en menaçant de sanctions ceux qui comptaient offrir un couverture médiatique à la flottille humanitaire en direction de Gaza.
Le Bureau de presse gouvernemental israélien a prévenu par lettre les média étrangers :
« Que les choses soient bien claires (…) la participation à cette flottille est une violation volontaire de la loi israélienne et est susceptible de coûter aux participants une interdiction d’entrée en Israël pendant dix ans, la confiscation de leur matériel et des sanctions supplémentaires », non précisées.