Que ne ferait-on pas pour plaire à la puissance sioniste ?
Le Premier ministre italien Silvio Berlusconi, lors de sa visite à Yad Vashem, lundi 1er février à Jérusalem, a évoqué le programme nucléaire de l’Iran, son refus du Shoah-business et son appel à la destruction de l’Entité Sioniste.
«Nous devons être vigilants », a déclaré le franc-mac italien en parlant du président iranien Mahmoud Ahmadinejad. «Nous avons déjà eu affaire à un fou dans l’histoire », a-t-il ajouté, faisant référence à Hitler.
Par ailleurs, il a affirmé durant ce voyage : «mon plus grand rêve est de pouvoir compter Israël parmi les pays membres de l’Union européenne».
En terme d’allégeance, on peut difficilement faire mieux.