L’« humoriste » Jean-François Dérec, accusé d’injure raciste par un agent de sécurité, a été condamné jeudi à une amende de 2 000 euros avec sursis et un euro de dommages et intérêts à la partie civile.
L’agent de sécurité assure en effet que Dérec l’a traité de « sale nègre » à l’issue d’un spectacle au Théâtre des Champs-Elysées à Paris, le 21 novembre dernier, alors qu’il venait de lui refuser l’accès à la loge de Guy Carlier.
Le comédien, « scandalisé par ce jugement », nie farouchement les faits, estimant que « se voir traiter de raciste, c’est la pire des choses ». A souligner que Jean-François Dérec est un juif polonais, parrain de SOS racisme.
Voilà donc les chantres de l’« antiracisme » rattrapés eux-mêmes par le système qu’ils ont mis en place. Dans son malheur, cet agent de sécurité a de la chance quelque part : s’il avait été blanc, et traité de « sale blanc », sa plainte eût été irrecevable.
Et pour cause, le racisme anti-blanc n’existe pas officiellement, comme le confirme cet ancien cadre de SOS-racisme :