Paris. Un magistrat pro-migrant mis en examen pour proxénétisme

La réalité dépasse parfois la fiction.

Le Parisien nous informe qu’un magistrat de 58 ans « humaniste, (…) très soucieux des droits de l’homme – et notamment des étrangers – et peu friand de la détention provisoire systématique » est mis en examen pour proxénétisme et placé sous contrôle judiciaire. La pauvre femme, d’origine gabonnaise, qu’il aurait rendue à l’état d’esclave sexuelle est âgée de 35 ans de moins que lui. Le quotidien ne nous dit pas dans quelles conditions ils se sont rencontrés et qui elle est (serait-elle une sans papier dont il aurait profité de la vulnérabilité ?) Madame était hébergée chez lui depuis 2017, le revenu des passes était partagé entre les deux et c’est seulement en 2019, après qu’il l’eut virée de chez lui qu’elle a porté plainte. Officiellement, ils ont eu un enfant ensemble… ce qui reste à confirmer car comment connaître le père d’un enfant d’une prostituée ?

Le pire, dans cette histoire est la réaction de l’administration judiciaire qui n’a pas suspendu le juge qui continue donc à exercer. Certes, si tout le monde reste présumé innocent jusqu’à son procès, quelle est la crédibilité d’un magistrat à juger toute sorte de problèmes alors que lui-même est impliqué dans des affaires si sordides ?

Italie. Matteo Salvini va être jugé pour « séquestration de migrants »

La liberté recule partout en Europe et les procédures visant les opposants à la mondialisation s’accélèrent. En Italie, Matteo Salvini va être poursuivi pour « séquestration de migrants » (sic). Etant parlementaire, la procédure était entravée puisqu’il bénéficiait d’une immunité. Cette dernière a été levée par le parlement et Salvini va donc être livré aux juges !

Loin de se coucher, Salvini fait honneur à son peuple, lançant, juste après le vote : « Je suis fier d’avoir défendu l’Italie et je le referai ». En théorie, Salvini risque jusqu’à 15 (quinze !) ans de prison. Rappelons les faits : Matteo Salvini est accusé par le tribunal de Palerme, au main de juges crypto-marxistes, de séquestration de personnes pour avoir refusé, en août 2019, en qualité de ministre de l’Intérieur, d’autoriser le débarquement de plus de 80 migrants à bord du navire Open Arms, bloqué au large de la Sicile.

Outre l’aspect scandaleux de ces procédures, celles-ci sont de véritables appels pour les migrants du monde entier qui voient que dès qu’un dirigeant s’oppose à leur venue, il a des problèmes avec la justice de son pays. On comprend pourquoi l’Italie a reçu la semaine dernière, plus de 11.000 migrants venus avec des moyens de fortune !

Fin de la liberté d’expression : Alain Soral a été interpellé. [Màj : libéré sous contrôle judiciaire]

Finalement, Alain Soral a été libéré, mais avec mis en examen et sous contrôle judiciaire. Il n’en a donc pas du tout fini avec cette histoire. On notera que le parquet, qui prend ses instructions directement auprès du ministère -autrement dit auprès de Dupont-Moretti, avait requis la détention provisoire, c’est-à-dire la prison.

La décision revenant cependant au juge d’instruction, il a été décidé de le libérer. Il est également intéressant de savoir ce qui est reproché au polémiste : « provocation publique non suivie d’effet, en appelant directement à commettre l’un des crimes et délits portant atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation, injure publique à raison de l’origine ou de l’appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, provocation publique à la haine ou à la violence… », tout cela aurait eu lieu pendant la période de confinement…

D’après Le Parisien, « une phrase est particulièrement jugée inquiétante par les enquêteurs : il s’agit d’une vidéo mise en ligne appelant les citoyens « à s’armer » en vue d’une révolution. » On ne voit pas bien quel est le problème avec cette phrase : on peut s’armer intellectuellement, psychologiquement et même physiquement puisque la détention d’armes est légale pour certaines catégories. Dans la mesure où le contexte n’est pas donné, on ne voit en quoi cette procédure se justifie ! Sans aucun doute, Alain Soral est victime d’une police politique !

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Roman Polanski à nouveau accusé d’agression sexuelle sur mineure

Une troisième femme est sortie de l’ombre mardi 15 août, affirmant que le réalisateur du Bal des vampires l’avait «abusée sexuellement» lorsqu’elle avait 16 ans, en 1973. Et ce, alors que le cinéaste est toujours poursuivi pour le viol d’une adolescente il y a 40 ans.

Le ciel s’assombrit encore pour Roman Polanski. Déjà poursuivi pour avoir violé une adolescente il y a 40 ans, l’illustre cinéaste voit de nouvelles accusations à son encontre émerger. Une troisième femme a affirmé, mardi 15 août, avoir subi une agression sexuelle du réalisateur, alors qu’elle était encore mineure. Identifiée seulement par le prénom Robin, cette femme a déclaré lors d’une conférence de presse à Los Angeles qu’elle avait été «abusée sexuellement» par le célèbre cinéaste franco-polonais lorsqu’elle avait tout juste 16 ans, en 1973.

En 2010, l’actrice britannique Charlotte Lewis, également représentée par Gloria Allred, spécialisée dans les affaires d’agressions sexuelles, avait aussi déclaré que le réalisateur l’avait forcée à avoir une relation sexuelle lorsqu’elle n’avait que 16 ans.

Le cinéaste, qui aura 84 ans vendredi 18 août, est encore accusé d’avoir drogué Samantha Geimer quand elle avait 13 ans, et de l’avoir ensuite violée dans la maison de Jack Nicholson à Los Angeles en 1977, alors que l’acteur de Vol au-dessus d’un nid de coucou était en voyage.

Pendant combien de temps ce pédophile va-t-il continuer à être impuni ?

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La République française est-elle la complice de la fuite de l’assassin d’un policier ?

Les media ont relayé le verdict rendu par la cour d’appel d’Annecy au sujet de l’assassinat d’un policier, Cédric Pappatico, qui avait été délibérément écrasé après un cambriolage, en 2012 : Nabile Medjadji et Rachid Bellakehal, âgés tous deux de 38 ans, ont été condamnés à 25 ans de réclusion, avec une période de sûreté des deux tiers. Trente ans avaient été requis contre eux. Mohamed Hamied, 37 ans, et Kamel Abbed, 32 ans, ont écopé respectivement de 20 et 23 ans de réclusion. On notera que la Cour d’appel est plus indulgente que la Cour d’assises, mais passons. Car le vrai scandale, c’est que le conducteur de la voiture (une Porsche volée) qui a écrasé le policier coule, lui, des jours heureux en Tunisie, où il vit libre comme l’air alors que tout le monde sait où il se trouve. Quelle est la raison de ce scandale ?

Slim Ben Hamed (c’est son nom) a la double nationalité franco-tunisienne et la Tunisie n’extrade pas ses ressortissants, y compris donc quand ceux-ci sont aussi français ! Ainsi, Ben Hamed jouit de tous les avantages de la nationalité française (par exemple, il a pu voter aux dernières présidentielles ou législatives en tant que Français de l’étranger), mais quand il s’agit d’assumer ses responsabilités, il se cache derrière sa nationalité tunisienne pour se défausser ! Magique double-nationalité qui est une véritable discrimination puisqu’un Français de souche ne pourrait pas agir de la même manière, mais là encore passons.

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La famille d’une adolescente tuée par un récidiviste demandent des sanctions contre le juge qui a libéré le meurtrier

Agnès Marin

Le père, la mère et les grands-parents maternels de l’adolescente Agnès Marin, violée et tuée en 2011 au Chambon-sur-Lignon, réclament au Conseil de la magistrature des sanctions contre un juge qui avait remis en liberté le meurtrier, déjà condamné pour viol dans une affaire précédente. Ils dénoncent la « légèreté » du juge d’instruction, « dont les conséquences ont été dramatiques » puisque la petite Agnès Marin est morte à l’âge de 13 ans, après avoir croisé la route de ce récidiviste en liberté. 

Dans leur lettre, les parents estiment que la juge qui a instruit la première affaire de viol « a fait preuve de manquements dans l’exercice de son métier de juge d’instruction ». « Nous demandons au Conseil Supérieur de la Magistrature d’examiner ce dossier et de prononcer à son encontre une sanction disciplinaire », concluent-ils.

Espérons qu’ils ne finissent pas sur le mur des Cons du syndicat de la Magistrature comme le père de la jeune Anne-Lorraine Schmitt également tuée par un récidiviste, et soient entendus…

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Vincent Reynouard condamné à 2 ans de prison ferme pour avoir diffusé des vidéos

Alors même qu’après les événements survenus à Charlie Hebdo, tout le monde ne parlait que de liberté d’expression, nous apercevons tout de suite que celle-ci a de grandes limites. Ainsi, le polémiste Vincent Reynouard, avec qui nous sommes loin d’être en accord sur tous les points, a été condamné à 2 ans de prison ferme pour des vidéos qu’il avait postées sur youtube…

En outre, nous apprend le figaro, Reynouard a été condamné à payer des dommages et intérêts à une multitude d’associations, dont 3.500 € à la Licra et devra faire publier à ses frais le présent jugement dans 5 quotidiens nationaux ou régionaux. Enfin, son matériel vidéo lui a été confisqué…

Il est fort probable que Reynouard fasse appel de ce jugement (ce qui aurait pour effet de suspendre les présentes condamnations en attendant la décision de la cour d’appel), mais quoi qu’il en soit, cela montre bien que la liberté d’expression, dans la France de 2015, n’est réservée qu’aux laudateurs du système et n’est en vérité qu’une vaste farce, n’en déplaise aux « je suis Charlie »

Pendant les attentats, Taubira continue à promouvoir son laxisme…

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Les méfaits de Christiane Taubira à la tête de la justice française ne sont plus un secret pour personne : elle est l’un des meilleurs soutiens des délinquants en tous genre, petits ou grands, par son extraordinaire laxisme.

Mais elle a fait particulièrement fort ces jours-ci. Alors que la France était touchée par une série d’attentats islamistes, la garde des sceaux était muette…
Mais alors que l’on apprenait que les djihadistes étaient des multirécidivistes aux peines parfois largement réduites, madame Taubira donnait ses instruction : le 9 janvier, elle réaffirmait aux procureurs la nécessité de traiter sur un même plan les récidivistes et les non-récidivistes en matière de réductions supplémentaires de peine…

Question timing, c’est épatant.
Le document ici.

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Pas de garde à vue pour des islamistes s’entraînant au djihad !

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Hier matin, la police de Strasbourg, appelée par des riverains choqués, a effectué un contrôle dans un parc de la ville : au moins six personnes étaient en train de « s’entraîner au jihad » avec des armes factices mais une détermination bien réelle.

Les « barbus en djellaba » ont accueilli les policiers aux cris de « mécréants » avant de leur annoncer qu’ils iraient « brûler en enfer ». Le leader du groupe aurait également affirmé qu’ils s’entraînaient afin de « venger leurs frères musulmans morts sous les balles ».

Le pire de cette histoire ? Aucun d’entre eux n’a été placé en garde à vue, en « l’absence de délit caractérisé ». Une source évoque même une « simple provocation ».

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Viol collectif sur handicapée autorisé…

Palais de justiceLa « Justice » française a choisi de relaxer ce matin les cinq violeurs d’une jeune handicapée mentale.

Le président du tribunal de grande instance pris cette décision parce que la « conscience de l’absence de consentement de la victime » n’était pas établie…

Les cinq violeurs ont pourtant prouvé leur monstruosité. A la question de savoir pourquoi l’instigateur de ces multiples agressions sexuelles avait agit, Stéphane, 37 ans, répond : « Je ne voulais pas de cette fille, donc c’est pour ça que je leur ai refilé, pour m’en débarrasser ». 

Avec les quatre autres hommes, âgés de 31 à 48 ans, ils ont tenu un discours fixe :  lors de deux soirées, les 25 mai et 19 juin 2013, ils sont allés à Chalais chez « pépé », un septuagénaire non poursuivi dans cette affaire, pour « boire l’apéro ».

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Skype dans le collimateur de Big Brother

Skype est un logiciel de Microsoft qui permet de communiquer d’ordinateur à ordinateur, par messages écrits mais aussi en téléphonant (avec une connexion internet), le tout gratuitement.

Un des points intéressants de Skype, pour les dissidents, est qu’il est impossible (ou du moins très difficile) d’intercepter les communications. Evidemment cela ne plait pas aux services français, alors que la République cherche à contrôler toujours plus les actes et même les pensées des citoyens.

Nous venons d’apprendre que le président de l’ARCEP (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes) pleurniche auprès du procureur de la République.
Un petit passage au sein de son communiqué (souligné par nous) nous laisse deviner la vraie motivation de cette démarche :

« Le président de l’ARCEP informe le Procureur de la République de Paris d’un manquement possible de la société SKYPE à son obligation de se déclarer en tant qu’opérateur de communications électroniques en France 

Grande-Bretagne : l’islam évite la prison à un violeur !

Adil Rashid, 18 ans,est musulman, et c’est ce qui l’a sauvé de la prison anglaise. Violeur d’une jeune fille de 13 ans, son éducation religieuse vient de le soustraire à une peine de prison : le juge ayant entendu en effet que Rashid avait fréquenté une école religieuse islamique dans laquelle on lui avait enseigné que les femmes n’ont aucune valeur, il a considéré que Rashid était «passif», «manquait d’assurance» et que l’envoyer en prison risquait de «lui faire plus de tort que de bien».

L’’avocat de Rashid, Laban Leake, a fait savoir que «l’école qu’il fréquentait peut être décrite sans exagération comme une communauté fermée, tout comme sa vie familiale. Ce n’est pas exagéré de dire qu’il ne pouvait pas savoir que les relations sexuelles avec une jeune fille de 13 ans sont illégales». Lors d’entretiens avec des psychologues, Rashid a d’ailleurs affirmé qu’il avait appris dans son son école que «les femmes ne valent pas plus qu’une sucette jetée par terre».

C’est bien souvent l’athéisme, l’oubli de Dieu et de toute transcendance, qui obscurcit le discernement et rend inaccessible les exigences du droit naturel. Hé bien dans ce cas, c’est pourtant une religion, l’islam, qui met en cause la dignité de la femme en la réduisant à n’être qu’un objet de consommation. Nous ne nous faisons aucune illusion sur le laxisme d’une justice qui utilise l’islam pour déresponsabiliser les criminels, mais cet épisode révèle en même temps le contenu souvent secret de l’enseignement des écoles coraniques. Voici une image qui, dans certains pays arabes, est utilisée comme  publicité pour le voile islamique :

Twitter : retour aux z’heures-les-plus-sombres-de notre-histoire…

Après diffusion, en octobre, de tweets jugés antisémites, le réseau social Twitter avait été assigné en référé par l’Union des étudiants juifs de France et plusieurs autres associations. Hé bien, le Tribunal de grande instance de Paris vient d’ordonner hier à Twitter de communiquer les données permettant d’identifier les auteurs de messages racistes ou antisémites !

En un mot, la justice française incite à la délation, mieux, elle l’ordonne ! Le bien commun est-il en cause ? Non, évidemment. Cette mesure est donc frappée d’un caractère exclusivement idéologique qui la discrédite totalement : la loi est détournée, confisquée à des fins politiques !

Car tout le monde sait parfaitement que l’accusation de racisme est un élément de langage qui vise aujourd’hui à disqualifier un adversaire politique. Ni plus, ni moins. A telle enseigne que ce mot ne recouvre plus aucune réalité sérieuse, tant il a été galvaudé : sont ainsi racistes, par exemple, ceux qui s’opposent à l’islam et à la structure philosophico-politique qu’il incarne. Sauf que l’islam n’est pas une race, précisément. Ceux qui s’opposent au Christianisme et à son enseignement sont-il également racistes ? Porter un jugement de valeur sur la portée d’une religion, d’une philosophie ou d’une politique sociétale n’a évidemment aucune mesure avec un comportement raciste.

Disons-le, le racisme est sans doute aujourd’hui, dans le vocabulaire français, le concept le plus confus qui soit : il n’est donc pas étonnant qu’il soit l’instrument de toutes les manipulations intellectuelles et partisanes. Pour noyer son chien, ne faut-il pas d’abord l’accuser de la rage ?

Car le racisme, s’il doit être défini sérieusement, est une doctrine qui introduit une hiérarchie entre les races : certaines seraient alors – ontologiquement ?- supérieures à d’autres. Position qui n’est tenu par aucun courant de nos jours.

Nous revoilà donc revenus aux heures les plus sombres des procès staliniens : car c’est seulement à l’aune de la vulgate médiatico-politique que seront déterminés les comportements racistes. Qui donc ne consent pas à épouser les vues dictées par la doxa sera systématiquement soupçonné de dérapage. Odieuse arrogance d’un milieu qui, quoique concentrant tous les pouvoirs, ne représente pourtant guère plus que lui-même !

JdR

 

Sarkozy entendu cette semaine par la justice

L’ancien président sera notamment interrogé sur une visite qu’il aurait rendue au domicile des Bettencourt, en 2007,  durant la campagne présidentielle d’entre-deux-tours. Le juge d’instruction Gentil a en effet convoqué Nicolas Sarkozy à Bordeaux, afin de savoir si Liliane Bettencourt a contribué au financement de sa campagne, il y a cinq ans.

Décidément, que deux chefs d’État successifs soient compromis dans des affaires de corruption, voilà qui en dit assez long sur l’état du pays. Le malheur serait que la chose se banalise et que les français s’habituent, que leur capacité d’indignation s’estompe par lassitude…

Belgique : 4 kg de cocaïne dans sa valise, mais relâché faute d’interprète

Un homme de 25 ans a été interpellé vendredi soir à l’aéroport de Bruxelles, avec quatre kilos de cocaïne dissimulés dans sa valise. Comparu devant un juge d’instruction belge, samedi, il a dû être relaxé devant l’impossibilité de trouver un interprète de portugais. L’homme a pris aussitôt la route de l’aéroport, d’où il devait repartir pour le Brésil.

On se souvient que la police belge, encore récemment, n’avait plus les moyens financiers d’envoyer le courrier, et notamment les contraventions et les convocations, à leurs destinataires. Désormais, c’est la justice qui n’a plus les moyens d’auditionner les criminels. La police et la justice sont pourtant deux  services régaliens, représentant directement l’autorité de l’État : conditions immédiate de la réalisation du bien commun, leurs failles sont celles de l’État, et d’un pays manifestement dans un état de crise avancé…